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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 16:41

micropuceDéfinition de la Biométrie

Analyse mathématique des caractéristiques biologiques d'une personne, destinée à déterminer son identité de manière irréfutable. La biométrie repose sur le principe de la reconnaissance de caractéristiques physiques. Les empreintes digitales, et la gamme d'indices généralement visés par la biométrie, notamment l'iris, la rétine, la main et les empreintes vocales, offrent une preuve irréfutable de l'identité d'une personne puisqu'elles constituent des caractéristiques biologiques uniques qui distinguent une personne d'une autre et ne peuvent être associées qu'à une seule personne. Adaptée à Internet, la biométrie permet notamment de filtrer les accès aux sites commerciaux et aux intranets. La biométrie peut être l'alliée de la vie privée en permettant de sauvegarder notre identité et l'intégrité des données.


http://www.22etoiles.com/terre/puce.htm
QU'EST-CE QUE LA MICRO-PUCE ?

La micro-puce électronique est un microprocesseur de 12 mm X 2,1 mm que l'on implante sous la peau du bras, grâce à une seringue hypodermique.
Capable de stocker des données lisibles par un scanner, chaque micro-puce possède un numéro d'identification unique.
Cette puce électronique est fabriquée par la firme Digital Angel, et commercialisée par sa filiale Verichip pour environ 200 §.


ORIGINE DE LA MICRO PUCE :

Carl W. Sanders, ingénieur en électronique et chercheur, a mis au point cette technologie, destinée à l'origine à aider des personnes atteintes de problèmes moteurs.
Il a participé pendant de nombreuses années à différents projets dans le domaine médical, sans imaginer que plus tard ses recherches seraient utilisées dans le but de manipuler l'humanité.
Depuis qu'il a compris le danger que pouvait représenter son invention, Sanders a décidé de prévenir les humains de la menace d'esclavage qui pèse sur eux s'ils acceptent de se faire implanter cette puce.


VISIONNER LA VIDEO DE FRANCE 2 

 

SON FONCTIONNEMENT :

Minuscule tube de verre de la longueur d'un gros grain de riz (11 mm X 2 mm), la puce électronique est un microprocesseur qui s'injecte sous la peau grâce à une seringue hypodermique.

Equipée d'un minuscule émetteur-récepteur qui envoie des signaux numériques, elle fonctionne comme les téléphones portables.
Grâce aux antennes relais et au système GPS (Global Positionning Satellite) il devient possible de localiser très précisemment une personne équipée de cette puce.

La micro-puce contient une pile au lithium qui se recharge automatiquement grâce à son circuit thermo-électrique : technologie basée sur le changement de température du corps humain. Les deux endroits du corps les plus sensibles aux changements de température sont le revers de la main et le front.

Les appareils d'identification envoient un signal auquel la puce transcutanée répond en écho.

Le changement de fréquence de la puce peut modifier le comportement humain.




VISIONNER LA VIDEO DE FRANCE 2 : (6 Mo)
Dominique De Villepin vante les avantages des éléments biométriques (photo + empreintes) qui seront contenus sur la future carte d'identité électronique.
Il explique ensuite que dès 2007, cette même carte donnera accès à des données confidentielles : compte en banque, dossier fiscal et numéro de permis de conduire seront stockés sur la puce de cette carte d'identité. Elle pourra aussi servir de signature électronique pour les transactions sur internet.
Ensuite le journaliste enchaine le sujet tout naturellement sur l'utilisation possible de la puce sous cutanée qui pourrait remplacer la carte d'identité... Très à la mode en Espagne en ce moment, vous pourrez voir comment on implante cet objet sous la peau après une anesthésie locale.

 

CHAMP D'APPLICATION :

Il est très vaste puisqu'il concerne 4 grands domaines :

  • L'identité
  • Le dossier médical
  • Les impôts
  • Le compte bancaire

Les données concernant chaque individu peuvent être stockées dans sa micro-puce personnelle et lisibles par un scanner.
Différents avantages nous sont proposés pour nous inciter à l'utiliser dès à présent.

n L'identification infaillible des individus permettra de :

  • Simplifier les contrôles d'identité dans les aéroports, ports…
  • Contrôler les clandestins
  • Repérer les terroristes avant qu'ils ne passent les frontières.

n Le repérage par satellite permettra de :

  • Retrouver un animal de ferme ou domestique perdu
  • Localiser un sportif imprudent qui se serait égaré
  • Retrouver un enfant kidnappé
  • Protéger certains membres du gouvernement lors de leurs déplacements
  • Suivre les déplacements des militaires.

n L'amélioration du suivi médical permettra de :

  • Surveiller la santé de certains patients " à risques "
  • Enregistrer le dossier médical de chaque individu, ainsi que ses éventuelles allergies ou maladies chroniques.

n Le renforcement de la sécurité matérielle permettra de :

  • Protéger les biens de valeur qui seraient identifiés et localisés
  • Eviter le vol des voitures puisqu'elles ne fonctionneraient qu'en présence de la puce du propriétaire
  • Accéder à son habitation, sans crainte de perdre ses clés.

n L'optimisation de la sécurité financière permettra de :

  • Simplifier le paiement puisqu'il suffira de passer sa main devant un scanner pour régler ses achats et débiter son compte bancaire
  • Réaliser des transactions commerciales électroniques sécurisées
  • Supprimer le risque de se faire voler son argent liquide ou sa carte bancaire.

 

COMMENT EN EST-ON ARRIVES LA ?

Ce sont les codes-barres qui ont marqué le début de cette folie technologique.

Puis les cartes à puces ont fait leur apparition pour s'imposer dans des domaines tels que les banques et la sécurité sociale.
L'identité commence à être concernée aussi puisque la nouvelle carte d'identité va être munie d'une puce. INES : Identité Nationale Electronique Sécurisée.

Les puces RFID, ou tags électroniques, envahissent peu à peu les produits manufacturés sous prétexte de confort logistique.

La micro-puce sous cutanée est la suite logique de cette révolution technologique. Après avoir pucé les objets, puis les animaux, ce pourrait être le tour des humains.
D'autant plus que les medias insistent sur certains événements pour accentuer le sentiment d'insécurité des populations et les encourager à accepter cet implant.

NOUS VIVONS DANS UN SYSTEME PERVERS QUI NOUS MANIPULE, qui nous familiarise lentement mais sûrement avec l'idée que la micro-puce nous est devenue indispensable.

  • La micro-puce a commencé par apparaître dans nos ordinateurs, et autres objets usuels,
  • S'est installée dans nos voitures,
  • Sur nos différentes cartes : bancaire, sécurité sociale, identité, etc.
  • Puis la prolifération des téléphones portables a complètement banalisé cette technologie.
  • En même temps la mode a incité les jeunes à se faire tatouer, puis à se faire des percings dans le corps, et même à s'implanter des objets sous la peau, développant ainsi l'idée perverse de porter un objet à l'intérieur du corps.
  • Ensuite ce sont les implants contraceptifs qui sont passés dans les moeurs.
  • La micro- puce est déjà largement utilisée sur les animaux domestiques et sur le bétail, elle est même obligatoire dans certains cas (animaux protégés).
  • Les prisonniers vont bientôt l'expérimenter aussi, pour le moment ils se contentent du bracelet électronique.

 

MOYENS DE PERSUASION UTILISES :

La technique de base utilisée pour nous inciter à accepter cette technologie consiste tout d'abord à nous effrayer. Par la suite on nous propose davantage de contrôles qui sont censés nous rassurer.
Parmi ces contrôles notons le nombre croissant des caméras de surveillance dans les rues : souriez, vous êtes filmés ! Ainsi on s'habitue peu à peu à être surveillé, ça devient "normal", et puis c'est pour notre sécurité !

Avez-vous remarqué à quel moment les medias ont commencé à nous parler de la puce sous cutanée ? Lors des enlèvements d'enfants en Grande Bretagne (2001-2002). Elle a été présentée comme la solution anti-rapt puisqu'elle permet aux parents de savoir à chaque instant où se trouve son enfant.
La micro-puce existait depuis plusieurs années et attendait l'occasion qui la rendrait indispensable pour se faire connaître. On en arrive à se demander si ces enlèvements n'ont pas été perpétrés volontairement pour créer cette opportunité...

En principe l'Etat s'engage à protéger la vie privée des citoyens en ne divulguant pas les données stockées dans la puce à des organismes privés.
On oublie toutefois que la corruption est toujours possible et que si quelqu'un souhaite acheter des fichiers de données, il trouvera certainement une personne corrompue acceptant de les lui vendre.
On oublie aussi subitement que le piratage informatique existe. On nous assure que les données concernant la population seront stockées sur des serveurs ultra protégés. Quoi qu'on essaie de nous faire croire, il existera toujours des failles exploitables par les pirates.

Il nous sera bientôt proposé de faire fusionner notre identité électronique avec notre carte bancaire pour plus de confort, plus de sécurité, etc.
Ce sont les mots-clés qui rassurent en ce moment :" contrôle, surveillance, vérification, localisation, sécurité "...
Et ceux qui facilitent la vie : " rapidité, facilité, efficacité, confort, plaisir "…

Présentée comme un progrès, la micro-puce est en fait un instrument de manipulation destiné à contrôler l'humain.
Les dirigeants nous conditionnent comme des moutons pour que nous utilisions cette technologie. Elle pourrait bientôt devenir obligatoire pour effectuer la moindre action commerciale.
On nous a déjà incités à utiliser Moneo pour nous habituer à manipuler de l'argent virtuel (et aussi pour mieux contrôler comment on dépense nos espèces). Donc bientôt l'argent liquide n'existera même plus, seuls les possesseurs de micro-puces pourront effectuer leurs achats grâce à ce moyen d'échange virtuel.


Agrandir l'image

On nous incite à avoir un seul numéro pour nous simplifier la vie
Il est question d'attribuer bientôt à chaque citoyen Français un numéro d'immatriculation pour sa voiture qu'il conservera à vie, même s'il change de véhicule. Comme on croule sous les mots de passes de toutes sortes il est tentant d'accepter d'avoir un numéro unique… et justement la micro-puce est dotée d'un numéro personnel unique !
Dans un futur proche un numéro de série pourrait être attribué à chaque humain dès sa naissance.

 

CONSEQUENCES ET RISQUES (dont personne ne nous parlera bien sûr) :

n CONSEQUENCES PHYSIQUES :

  • La puce contient une pile au lithium, très dangereuse pour l'homme si elle se brise dans son corps. Le lithium peut provoquer une plaie purulente et très douloureuse.
  • Les ondes émises par la puce peuvent perturber la santé de l'individu qui la porte.

n CONSEQUENCES MATERIELLES :

  • Quelques pays ont déjà imposé cette puce dans des certains secteurs et il est désormais impossible de conserver son emploi en cas de refus de l'implant. Exemple : les employés de banques et les militaires sont soumis à cette technologie en Australie.
  • L'argent sous forme d'espèces est difficilement contrôlable, c'est pourquoi le citoyen est de plus en plus sollicité pour effectuer ses achats en monnaie virtuelle.
  • Quand il n'y aura plus du tout d'argent liquide en circulation, ceux qui refuseront la puce ne pourront plus rien acheter ni vendre… comme prédit dans la Bible.

n CONSEQUENCES PERSONNELLES :

  • Tout porteur de la micro-puce devient repérable n'importe où par satellite (système GPS). L'espionnage des citoyens marque la fin de leur liberté physique !
  • Les données collectées pour chaque individu vont être regroupées sur sa micro-puce. Les renseignements concernant la police (identité), la justice (casier judiciaire), la sécurité sociale (état de santé), les finances (impôts), l'administration pourront être recoupées et porter atteinte à la vie privée de chacun.

n CONSEQUENCES EMOTIONNELLES :

  • La puce peut aussi recevoir des ondes. Ainsi il devient possible de stimuler certaines parties du cerveau de celui qui la porte et d'influencer son comportement et ses émotions. La liberté de penser peut donc aussi disparaître.

 

LA MICRO-PUCE BIENTOT OBLIGATOIRE ?

Ce n'est pas encore le cas mais ça ne saurait tarder, d'autant plus que la technologie qui lui est nécessaire existe déjà. Tout comme les GSM, la micro-puce sous cutanée utilise le système GPS pour fonctionner.

Toutes les voitures récentes sont aussi équipées du système GPS, ce qui veut dire que tous ces véhicules sont repérables n'importe où dans le monde par satellite. Vous doutez ? Je vous suggère de télécharger Google Earth : la planète entière est photographiée par satellite. Si le simple humain a accès à toutes ces photos détaillées, on imagine que les gouvernements possèdent des clichés plus précis, sans doute en images video…

On parle de + en + d'économie mondiale et de multinationales très puissantes qui influencent les décisions des gouvernements. Chacun sait que le principal but des multinationales est de faire un maximum de profit, donc on imagine le poids de leurs décisions.

La micro-puce n'est pas encore obligatoire en France, mais si on ne réagit pas cela risque de nous arriver sans qu'on l'ait vue venir car le décor est déja planté.
Si on accepte cet implant, l'état pourra recouper notre situation juridique, financière, médicale…
Finie la démocratie, fini le libre arbitre, finies la vie privée et la liberté.

Les implantés seront transformés en robots vivants,
dociles comme des moutons.
Ils penseront et réagiront selon
le modèle proposé par leurs dirigeants.

Imaginons qu'on en arrive au stade où les gouvernements vont tenter d'imposer cet implant… Ceux qui le refuseront devront vivre en marge de la société puisqu'ils ne pourront plus rien acheter ni vendre et ne recevront donc plus de salaire. Il leur restera la solution de vivre de troc, et sans doute aussi de se cacher...

Quel avenir choisissez-vous d'offrir à vos enfants ? Celui de l'esclavage moderne ? Celui d'un gouvernement mondial qui imposera une pensée unique…

Sommes-nous un troupeau de moutons ? C'est sans doute ce que pensent nos dirigeants puisqu'ils souhaitent nous marquer comme du bétail.

Si une prise de conscience collective intervient, on peut encore éviter d'être transformés en robots humains dociles et exploitables à souhait. Alors réagissons avant qu'il ne soit trop tard !

LA MICRO-PUCE EST DEJA OBLIGATOIRE DANS CERTAINS CAS :

  • En Europe : l'identification électronique est obligatoire pour les chevaux de haras depuis janvier 2006 sous peine d'amende. Motif : combattre les vols.
  • En Suisse : elle est imposée aux propriétaires d'animaux de compagnie dans certains cantons et s'appelle ANIS.
  • L'Espagne a aussi commencé à l'expérimenter. A Barcelone la boite de nuit Baja Beach Club propose à ses clients branchés l'implant d'une micro-puce. Celle-ci leur permet de régler leurs consommations en passant simplement leur bras devant un scanner et leur compte est débité automatiquement !!! Voir la video (6 Mo)
  • En Australie : les employés de banques et les militaires sont tenus d'être pucés pour conserver leur emploi.
  • Au Mexique et au Brésil des enfants sont déjà implantés pour éviter les rapts.
  • Aux Etats-Unis l'implant est obligatoire pour les SDF, pour leur bien, évidemment.
  • De nombreux autres pays ont déjà acheté des puces sous cutanées : La Nouvelle Zélande, la Malaisie

 

LA MARQUE DE LA BETE :

La Bible contient un texte de Saint-Jean qui nous parle de " la marque de la bête ". Cette micro-puce ressemble à ce qui a été prophétisé dans les " temps derniers " et l'Apocalypse.

Livre de l'Apocalypse XIII :
" Ils adorèrent la Bête… On lui donna de proférer des paroles d'orgueil et de blasphème… Elle obligea tous les hommes, gens du peuple et grands personnages, riches ou pauvres, hommes libres et esclaves, à se faire marquer d'un signe sur la main droite ou sur le front. Et personne ne pouvait acheter ou vendre sans porter ce signe : soit le nom de la Bête, soit le nombre correspondant à son nom. C'est ici qu'il faut de la sagesse : que celui qui a de l'intelligence déchiffre le nombre de la Bête ; car c'est un chiffre humain, c'est six cent soixante-six."

Livre de l'Apocalypse XVI : " Le premier (ange) s'en alla et versa sa coupe sur la terre. Un ulcère malin et douloureux frappa les hommes qui portaient la marque de la Bête et qui adoraient son image ".

La Bible nous conseille ensuite de refuser cette marque de la Bête, sous peine de déclancher la colère divine.
Elle nous signale aussi que ceux qui la refuseraient seraient persécutés avant de connaître la victoire finale.

 

LIENS UTILES :

n EN ANGLAIS

n EN FRANCAIS

n SITES QUI PARLENT, ENTRE AUTRES, DE LA MICROPUCE

n ASSOCIATIONS CONTRE LA PUCE TRANSCUTANEE :

n NOUVELLES UTILISATIONS DE LA PUCE TRANSCUTANEE :

 

RFID = Radio Frequency Identification Devices : tags électroniques
GPS = Global Positionning Satellite : repérage par satellite
INES = Identité Nationale Electronique Sécurisée

 

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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 07:17

La quenelle de ce matin sur France-Inter!

Dorénavant vous pourrez travailler (avant que ça ne devienne "vous devrez") pendant vos congés maladie ou congés maternité.

Les prétextes:

1- Si votre maladie est très longue, cela empêchera que, lors de votre retour dans l'entreprise, un collègue vous ait pris votre travail ou une partie de votre travail pour ne vous laisser que la partie inintéressante. 

2- De toute façon, grâce aux moyens de communication actuels, c'est possible!

3- Cela permettrait au salarié de maintenir sa rémunération. (Pour consommer plus?)


4- L'employeur serait encouragé (et hop la carotte!) en recevant une réduction de charges sociales.



Jusqu'à ce jour, celui qui, pendant son congé maladie,  n'était pas présent à son domicile ou surpris à faire du bricolage chez lui était sanctionné, et maintenant on voudrait qu'il travaille!!!


Allez allez, plus d'excuses! Au lieu de passer des heures sur Internet à glander mais surtout à vous informer, vous allez utiliser votre temps libre à  T-R-A-V-A-I-L-L-E-R !
Ne l'oubliez pas le travail est une valeur sure!
Et puis comme ça, pendant que vous travaillerez, vous n'irez pas voir ce qui se passe ailleurs, vous ne diffuserez pas des informations qui pourraient éveiller les consciences.

Tous les endroits vides doivent être comblés pour réfléchir le moins possible et ainsi mieux nous laisser
manipuler.

Ça frise la paranoïa? Si vous voulez!


Dessin Laplote



Quelques heures plus tard OUF!
...Mais l'idée a été émise, il se pourrait bien qu'elle finisse par germer. Car il insiste ce bougre de Lefebvre!
  Faut dire que Mâ Rachida nous avait déjà lissé la pente en recommençant à travailler 3 jours après son accouchement  
...A suivre de près!




Révision:
 
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Politique et massification

 

 Ou comment contrôler massivement les populations grâce à de nouvelles disciplines et qui sont donc devenues les nouveaux instruments de la pratique politique et du contrôle social. Ainsi, d’une activité d’inculcation d’un système de valeurs, une Loi, la politique s’est déplacée vers les questions purement techniques d’ingénierie des comportements et d’optimisation de la gestion des groupes.

 


 

A voir: Censure Internet: les  "bonnes" raisons

 



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24 mai 2009 7 24 /05 /mai /2009 15:34

http://astrocarillon.com/site/img/pouvoir.pngTexte conseillé par Kadak que j'ai réduit pour un premier aperçu.
Article complet  ICI

 


 

 

« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »

Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, 1793, article 35.

 

 

 

 

 

Comité invisible


 
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Politique et massification

 

 Ou comment contrôler massivement les populations grâce à de nouvelles disciplines telles que le marketing, le management, la cybernétique,(mécanisme de communication) que l’on regroupe sous le terme de « sciences de la gestion », et qui sont donc devenues les nouveaux instruments de la pratique politique et du contrôle social. Ainsi, d’une activité d’inculcation d’un système de valeurs, une Loi, divine ou républicaine, la politique s’est déplacée vers les questions purement techniques d’ingénierie des comportements et d’optimisation de la gestion des groupes.

 

 

 
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Politique et mondialisation

 

Ou comment la plupart des dirigeants contemporains ne poursuivent fondamentalement que deux buts, le premier étant de mettre sur pieds un gouvernement mondial ; le deuxième, afin de protéger ce gouvernement mondial de tout renversement par ses ennemis, étant de créer un système technique mondialisé de surveillance généralisée fondé sur la traçabilité totale des objets et des personnes.

 

 

 
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L'ingénierie sociale

 

Ou comment les uns voient sans être vus, et où les autres sont vus sans voir. Le but de la manœuvre est de prendre le contrôle du système de perception d’autrui sans être soi-même perçu, puis d’y produire des effets en réécrivant les relations de cause à effet de sorte qu’autrui se trompe quand il essaie de les remonter pour comprendre sa situation présente.

 

 

 
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La stratégie du choc


Ou comment  réinitialiser un groupe humain en provoquant son amnésie par un traumatisme fondateur, pour permettre  à un intervenant extérieur de travailler dessus pour la reformater, la réécrire, la recomposer comme la production intentionnelle de chocs régressifs, sous la forme de crises économiques planifiées et-ou de traumatismes émotionnels méthodiques, afin d’anéantir les structures données jusqu’à une table rase permettant d’en implanter de nouvelles.

 

 

 
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La conduite du changement

 

Ou comment provoquer le moins de résistance au travail de reconfiguration, comment faire en sorte que les chocs infligés ne provoquent pas une réaction de rejet ? ». Donc comment faire accepter le changement, et si possible comment le faire désirer, comment faire adhérer aux chocs et au reformatage qui s’en suit ? Comment faire aimer l’instabilité, le mouvement, la précarité, le « bougisme » ? Un prélude qui consiste à préparer les esprits en faisant la promotion dans l’espace public de mots-clés tels que « nomadisme », « dématérialisation », « déterritorialisation », « mobilité », « flexibilité », « rupture », « réformes », etc. Mais ce n’est nullement suffisant. Dans tous les cas, l’attaque directe, dont la visibilité provoque un cabrage réactif contre-productif, doit être abandonnée au profit d’une tactique indirecte, dite de contournement dans le vocabulaire militaire (Sun-Tzu, Clausewitz).

 

 

 
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Le Social Learning

 

Ou comment les acteurs économiques cherchent à prendre le contrôle d’un marché, en amont, en façonnant ses goûts et ses besoins — voire en les conditionnant — et enfin en lui imposant ses produits, qui paraissent alors répondre naturellement à ses attentes. Il s’agit d’adapter, parfois longtemps à l’avance, le client à son offre, de détruire celle de la concurrence, mais aussi de substituer l’influence politique et culturelle de son État à celle de nations rivales.

 

        

 

 
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La fabrication du consentement

 

Ou comment le piratage d’un sujet aux fins d’obtenir son consentement peut aussi s’appuyer sur une régression mentale provoquée. Cette technique suppose, dans un premier temps, de ne s’adresser qu’aux émotions et à l’affectivité. C’est sous son impulsion que la politique a commencé de prendre comme modèle l’analyse des feed-backs des comportements de consommation, dans les grandes surfaces, les banques, les assurances, les services personnalisés,...

 

Ou comment faire accomplir quelque chose à quelqu’un en lui donnant le sentiment que c’est lui qui a choisi librement de le faire ? Comment réussir à ce que la transgression de l’intégrité mentale des masses populaires reste inaperçue ? Comment faire en sorte que le pilotage des masses présente toutes les apparences de la démocratie et du respect de la souveraineté populaire ? Bref, comment violer quelqu’un sans qu’il ne s’en aperçoive ?

 

 

 
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Le tittytainement

 

Ou comment les architectes de la mondialisation l’ont parfaitement compris : pour être vraiment efficace, la fabrique du consentement suppose l’abolition de toutes les frontières. En effet, c’est le maintien de frontières, à tous les niveaux de l’existence qui rend possible la comparaison, la contradiction, la possibilité de dire « Non » et tout le jeu de la dialectique politique qui s’en suit. En visée ultime, l’ingénierie mondialiste cherche à élaborer ce fameux « village global » sans frontières, qui permettrait d’obtenir le consentement définitif des populations sur tous les sujets, de sorte à ne pas être contraint d’y travailler constamment. Avec l’abolition des frontières, c’est-à-dire du principe même de toute extériorité, s’abolit également la possibilité de toute comparaison et contradiction fondamentale, donc de tout contre-pouvoir critique et de toute résistance.

 

 

 

 
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Le pied-dans-la-porte

 

Ou comment construire la « servitude volontaire », c’est-à-dire faire non seulement accepter, mais encore désirer au sujet manipulé ce que l’on a, en fait, décidé à sa place, en le mettant dans une situation d’engagement à poursuivre un comportement. La technique du pied-dans-la-porte, ou « technique du saucisson », qui consiste à faire avaler le tout par petites tranches, est une des plus connues.

 


 
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Le Mind Control

 

Ou comment après le contrôle des émotions et des situations, l’ingénierie sociale s’est beaucoup intéressée au contrôle direct du cerveau, dans l’optique de court-circuiter le champ des représentations pour s’attaquer directement à la programmation du système nerveux dans sa matérialité la plus brute.

 


 
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Le virtualisme

 

Ou comment quand le comportement réel d’une population, par exemple au moment d’un vote, ne correspond pas aux prévisions du pouvoir, un lissage virtuel vient réécrire et corriger ce réel pour l’ajuster à la prévision. Ce lissage peut prendre plusieurs aspects. Le plus brutal consiste à faire comme si on n’avait rien vu et à ne pas tenir compte des résultats du scrutin. Les peuples disent « Non » à un référendum, mais on fait comme s’ils avaient dit « Oui ».

 


 
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La guerre contre-insurrectionnelle

 

Ou comment fabriquer le consentement du peuple exige de savoir contourner, neutraliser, annihiler les risques de révoltes de sa part. Face aux diverses insurrections qui ont émaillé le 20ème siècle, guerres de décolonisation, révolutions, guérillas, soulèvements et conflits sociaux déstabilisant le pouvoir, des officiers militaires de divers pays ont cherché à formaliser des tactiques de contre-insurrection, autrement dit les techniques de la répression réussie de toute forme de résistance populaire au pouvoir, si possible permettant de tuer la contestation dans l’œuf avant même qu’elle n’apparaisse.

 

 

 

 
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Le reality-building

 

Ou comment le storytelling repose essentiellement sur l’élaboration d’une bonne fiction, une fiction enthousiasmante, qui parle au cœur et à l’émotion et qui applique des schémas narratifs et des structures scénaristiques ayant déjà fait leurs preuves dans la littérature ou le cinéma. L’imagerie et les mises en scènes spectaculaires visent à faire rêver et à produire à la demande tel ou tel type d’émotion dans le public, de manière à s’assurer la prévisibilité de son comportement et à garder le contrôle du système. Non pas répondre aux réactions du peuple, mais les créer carrément, afin d’avoir toujours un coup d’avance sur lui.

 


 
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Le management négatif

 

Ou comment diviser pour régner. En tant qu’arme de destruction cognitive massive, le communautarisme introduit dans une population donnée une pluralité de codes culturels qui brisent ses lignes de communication, préalable à sa désorganisation tactique. Favoriser l’hétérogénéité et l’individualisation des codes, atomiser, segmenter et casser les lignes de transmission, pour aboutir à la rupture de la coordination des parties et à l’impossibilité de s’organiser. Au sein de l’espèce humaine, tout repose sur l’organisation des groupes. L’individu n’est qu’une abstraction, seuls les groupes existent : la famille, le village, le clan, la tribu, les amis, les collègues, la classe sociale, le parti, le syndicat, la nation, l’ethnie, les coreligionnaires, l’espèce dans sa globalité, etc. L’Homo Sapiens ne vit qu’en groupes, il est intrinsèquement grégaire, c’est un « animal politique », comme le notait Aristote.

 

 

 
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La théorie de la Jeune-Fille

 

Ou comment dépolitiser et désorganiser sont ainsi strictement synonymes de faire entrer dans la consommation et le Spectacle. En d’autres termes, pour désorganiser un groupe, il suffit de le « jeune-filliser », c’est-à-dire de féminiser et juvéniliser son système de valeurs. Tout d’abord, pourquoi féminiser ? Du point de vue structural, les femmes sont ces individus qui, par définition, ne sont pas-tout-phalliques, qui jouissent certes partiellement comme les hommes, c’est-à-dire qui trouvent aussi du sens à la vie en collectivité, mais qui pour être femmes, donc différentes des hommes, se réservent le droit d’être hors-la-loi, subversives, de ne pas entrer dans le jeu des contraintes sociales et donc de refuser l’organisation structurée des groupes, organisation toujours perçue comme masculine, voire phallocrate ou machiste, donc répressive et mauvaise, refus du politique qui les conduit à chercher du sens dans la sphère de l’intime, de l’érotisme et du fusionnel.

 


 
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Le biopouvoir

 

Ou comment cet interventionnisme, pouvant aller jusqu’au piratage, traduit également un projet politique, celui porté par le mondialisme, et dont les conséquences pour la vie, au sens biologique du terme, seront pires que le nazisme et le stalinisme réunis.

 

 

 
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Conclusion provisoire

 

Le pouvoir centralisé qui tente de se mettre en place au niveau mondial ne possède aucune légitimité démocratique.

 

Face à cette violence inouïe, la résistance doit s’organiser. Cependant, si l’on veut qu’elle soit constructive et ne stagne pas dans des émeutes incohérentes et acéphales ou du terrorisme stérile, cette résistance doit impérativement être organisée, planifiée, calculée, stratégique, dans l’optique d’une prise de pouvoir institutionnelle, que ce soit par l’infiltration lente des structures du pouvoir ou par des méthodes plus expéditives. L’insurrection qui vient doit être conçue, réfléchie, méthodique et rationnelle. Connaître son ennemi, lui appliquer ce qu’il nous applique, rétablir l’égalité du couple « voir » et « être vu », en bref, pirater les pirates pour répondre à la question que se posait Juvénal : « Qui gardera les gardes ? ».

 

 

Si ce système ne s’effondre pas de lui-même, alors il faudra l’y aider. Nous allons le faire. Nous sommes nombreux. Nous sommes des millions. Des millions de fois plus nombreux que notre ennemi. Il a déjà peur de nous. Il tremble de terreur car il sait que son pouvoir est fragile et ne repose que sur le bluff et le crédit que nous lui accordons. Toute sa force ne repose que sur des représentations auxquelles nous avons crues. Cessons d’y croire et le réel apparaîtra : nous sommes plus forts que lui. C’est à lui d’obéir, pas à nous.

 

 

Le roi est nu. En outre, son propre pouvoir le fait souffrir car il sait bien au fond de lui qu’il repose sur le mensonge. Inconsciemment, il nous demande de le frapper pour le ramener à la raison. Ne nous privons pas. Il nous remerciera à la fin.

 

 

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22 mai 2009 5 22 /05 /mai /2009 08:18

 

http://www.notre-planete.info/actualites/images/planete/globe_west_2048NASA.jpg

Les Français présents, parmi les 130 personnalités de pays occidentaux, lors de la réunion secrète de Bilderberg du 14 au 16 Mai en Grèce ont été:


- Nicolas Bavarez, économiste et historien

- Xavier Bertrand, secrétaire général de l'UMP

- Alexandre Bompard, haut fonctionnaire et dirigeant de l'audiovisuel français, directeur général d'Europe 1

 - Henri de Castries, Président d'AXA

- Thierry de Montbrial, enseignant-chercheur en économie et relations internationales ; et fils de François de Montbrial, inspecteur général de la Banque de France

- Denis Olivennes, haut fonctionnaire et chef d'entreprise, directeur de la FNAC, directeur général délégué et directeur de la publication de l' hebdomadaire le Nouvel Observateur.

- Frédéric Oudéa, directeur général de la Société Générale



La liste complète ICI

 

 

Voilà : financiers, politiques, médias tous réunis autour de la même "table", le tout avec caméras et micros interdits.

Aucun média ne fait mention de cette réunion qui rassemble pourtant chaque année les hommes les plus influents de la planète.




Il se trouve qu'Eva en parle aussi ICI



Le texte de Ludovic :

A vous de voir si notre prétention à nous croire encore en démocratie a un fondement, ou si elle révèle notre aveuglement atterrant. Nous vivons actuellement l'ère de la grande manipulation sous couvert de libre détermination. Les journalistes, pour leur immense majorité, ne font plus leur travail d'information du public. Ils ont peur pour leur carrière, acceptent le nouvel ordre montant, courbent l'échine devant l'ombre des puissants, s'auto-censurent et en oublient finalement leur devoir d'indépendance et de décryptage. Les JT de TF1 et F2 sont devenus une merde pour sous-citoyens, n'expliquent plus rien, ne recoupent plus les informations, consacrent 90% du temps à des sujets insignifiants, superficiels ou futiles, narrent jusqu'à la nausée les micro-événements locaux ou l'actualité judiciaire des pauvres ères (curieusement la justice financière les intéresse moins), vantent les exploits de la police. Les émissions de F5 sont devenues des machines à propagande gouvernementale : C dans l'air, Revu et corrigé, que j'appréciais auparavant, ne valent plus qu'une poignée de cacahuètes. Hors la pensée unique, point de salut. Les esprits libres ne sont plus invités, et lorsqu'un discours sort ne serait-ce qu'un peu du plan très lisse imposé par le présentateur, il faut vite clouer au pilori l'odieux personnage et l'empêcher de finir sa phrase. A gerber, je vous dis.

Et cela ne va pas s'arranger car après la télévision publique annexée par l'Elysée, cela va être au tour de Radio France. Même la très libre France Inter se normalise, prévoyant l'arrivée prochaine à sa tête du faussement gauchiste Philippe Val qui n'est qu'un valet du pouvoir sur les sujets les plus fondamentaux : quelqu'un qui traite à l'antenne de "sacrée bande de sales cons" les 10% de Français (je rappelle qu'ils sont plus de 50% aux USA) se questionnant sur les graves mensonges/omissions du gvt états-unien au sujet des attentats du 11 sept, quelqu'un qui figure parmi les personnalités les plus pro-sionistes de ce pays, ne peut qu'être inquiétant, pour ne pas dire plus.

Alors l'idée même d'envisager de normaliser cet extraordinaire média qu'est Internet, lois liberticides pour tous à l'appui, est répugnante et gravissime. L'accès à l'information devrait être un droit inaliénable pour tout citoyen, mais il faut se rendre à l'évidence que nos gouvernants ne nous jugent pas dignes de ce droit élémentaire. L'abrutissement généralisé serait donc notre seule voie d'avenir ? Mieux qu'une dictature, une démocrature produisant une information aseptisée pour les masses dont l'objectif est la fabrication du consentement et la persuasion de son pouvoir de libre choix ; surtout de choisir entre bleu clair, bleu azur et bleu ciel.

Encore une fois, il est urgentissime de prendre conscience de ces dérives qui s'accélèrent et prennent de l'ampleur. Mais il faut aussi éveiller ceux qui seraient trop profondément assoupis face à la sournoise adversité. Car croyez-moi, ni vous ni moi ne sortirons gagnants de cette lutte inégale que les puissants ont décidé de mener contre les peuples. Leur dessein est plus que jamais palpable : assujettir et exploiter les peuples, et surtout étouffer les mouvements de résistance qui ne manqueront pas de se créer pour s'opposer à ces nouvelles formes (subtiles) d'esclavage. D'où notamment les mesures orwelliennes à venir d'hypersurveillance informatique et de recoupement des fichiers de toute sorte.

Ahhh que l'avenir est beau et excitant ! Putain !
Ludovic


Moi, ce que j'en dis:

 

...J'ai pu aussi constater que les Radios France avaient beaucoup changé depuis quelques temps. Très intéressant de savoir quels sont les aliments préférés du  petit Nico. Sur France-Culture, on a même fait une émission sur les discriminations que les gens de petite taille subissaient, sans oublier de mentionner Mister Talonette. Le pauvre, c'est sûrement à cause de ça que tout le monde lui en veut!

 


 

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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 09:20

J'avais écrit cet article le 18 juin 2008 avec avec un ton humouristique mais allez voir ce qu'en dit EVA


"Admettons que vous vous êtes déjà dit qu'avec Internet, les messageries, les blogs, les téléphones portables, les cartes bancaires, de fidélité, de transports, les formulaires, les questionnaires,..... qu'en somme, plus il était facile de communiquer avec des outils pratiques et de plus en plus performants,  plus vous aviez l'impression d'être libre, mais que plus votre vie privée n'était plus vraiment privée.

Admettons d'un autre côté que vous en avez marre de votre vie et que vous voulez vous exiler dans des terres où plus personne ne vous fera ch...(voir Rabelais).

Et bien, il vous faudra admettre qu'à ce moment là, vous devrez vivre -presque- comme un Sans Domicile Fixe.

BUT WHY? (snif!)

Si vous vous retirez, il vous faudra limiter les échanges commerciaux, sans téléphone, sans ordinateur (hou, ça, ça fait mal). Vous devrez fermer votre compte en banque et payer tout en liquide. Vous ne pourrez plus voyager à l'étranger et surtout pas aux Etats-Unis....papirs oblige! Il vous faudra garder votre vieille carte d'identité. Il ne faudra pas scolariser vos enfants dans le système officiel et  ne pas être  malade non plus (fichiers médicaux).

Dans votre hameau perdu, d'une France profonde vous serez vite repéré, vos habitudes et tout et tout.

La ville est mieux pour l'anonymat mais la marge entre la sortie du système et l'exclusion est plutôt mince. Il faudra vous rendre à l'évidence: vous pourrez passer inaperçu si vous avez un mode de vie proche de celui d'un sans-abris.

ALORS?

Pour vivre heureux,
Trouver le juste milieu...



Hou hou! J'veux mon ordinateur!!
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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 09:43

"La quenelle quotidienne" ça pourrait faire une belle rubrique, non? Il y a de quoi dire!

Tout le monde a déjà dû voir les sketches de Dieudonné et sa célèbre enfilade de quenelle!!!

Ce matin sur RTL, il y avait une question très enfilade posée aux auditeurs:

"Seriez-vous prêts à baisser votre salaire pour préserver votre entreprise?"

Ben tiens! Pourquoi on ne demande jamais cela aux actionnaires qui prennent du bon temps sur le dos des gens qui travaillent de plus en plus pour une vie qui augmente de plus en plus? Hein, pourquoi?

Et pourquoi pas baisser son pantalon aussi?



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14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 10:53


Sauvez aujourd’hui le peuple des humains et demain le peuple des humains vous sauvera ! Nous assistons à une attaque ciblée contre les lieux où se pratique la simplicité volontaire et cela n’est pas innocent : harcèlement et expulsions. Or ces lieux sont ceux de la construction d’un nouveau monde en action. Ce sont les germes de ce monde que l’on arrache sous nos yeux indifférents. Ce sont les refuges du peuple des humains que l’on saccage.

 

 


Le texte qui suit reflète mon intime conviction, je n’en fait pas une prophétie, rien qu’un cri d’alarme qu’il me faut lancer pour me mettre en accord avec ma conscience : nous sommes en grand danger !
 

N’avez-vous pas encore compris que la victoire contre le nouvel ordre mondial des profiteurs passe par la mise en œuvre de modes de vie et de modes de relations entièrement nouveaux, et que chaque petite cellule où se pratique déjà cette construction et cette reconstruction est vitale pour l’avenir de l’humanité.

 

 


Même si vous ne souhaitez pas aujourd’hui abandonner les mirages et les leurres que le système vous projette sur un horizon d’illusions, dites-vous que demain,  vous n’aurez sans doute pas le choix. La toile de leurs écrans se déchire et se révèle le vrai visage de l’avenir qu’ils réservent à l’Homme. Si vous voulez survivre, il vous faudra renoncer à beaucoup de choses, laisser derrière vous les habitudes d’une vie et vous ouvrir comme des enfants partant à la découverte de la vie. Marcher vers…non pas comme des perdants, mais comme des personnes ayant tout à gagner dans l’abandon du superflu morbide que sont les ersatz industriels que vous impose le système.  Même la nourriture n’en est plus vraiment ! Voyez les conditions d’élevage qui sont pratiquées et le types de crasse qu’est l’alimentation du bétail et des volailles.

 


Je vais faire un petit détour par la pandémie annoncée. J’ai cessé de lire les articles relatifs à la grippe, mais il y a des titres qui sautent aux yeux. Des chiffres aberrants nous annoncent qu’un tiers de l’humanité sera touché. Visez un peu le délire. Soit c’est une manipulation démoniaque pour foutre la trouille aux gens histoire de les rendre complètement malléables, soit c’est une réalité et alors je pose la question : quelles sont les mesures d’hygiène prises pour contenir l’étendue des dégâts ? Côté officiel, je ne vois rien venir. Un pur scandale ! La mise au point d’un vaccin ? Cela me semble largement insuffisant.

 


Des campagnes sanitaires massives devraient être mises en œuvre pour encourager les gens à stimuler leurs défenses naturelles. Or si quelques personnes s’échangent leur recettes de santé, rien n’est fait en ce sens de manière officielle alors que l’on sait pertinemment que l’hygiène a joué un plus grand rôle dans l’éradication de nombreuses maladies que l’invention des vaccins ou des antibiotiques.

 



L’hygiène en l’occurrence consisterait à retrouver une vie saine et naturelle : de l’air pur, de la lumière, de la bonne nourriture et la dynamique de la simplicité : les gestes de la vie quotidienne qui mettent le corps en mouvement. Bien plus amusant à mon avis que de pédaler sur un vélo d’appartement et autres délires de salle de gym.

 


Pourquoi aucunes mesures sanitaires de prévention ne sont prises : parce que cela impliquerait une transformation radicale du monde et la fin du règne des Profiteurs, une reconversion totale des modes de vie, des modes de production, un changement de système, un retour à l’essentiel, une redistribution de richesses mais aussi une autre définition de cette notion. C’est de notre vie dont il est question ici et de notre monde.




(photo yurtao)

Je vous en conjure prenez conscience que chaque peuple premier exterminé, chaque yourte expulsée, chaque personne chassée de son terrain car son habitat, qui lui convient parfaitement bien par ailleurs, n’est pas aux normes du système, chaque cabane qui ne se construira pas, c’est un peu de notre espoir à tous qui est annihilé. C’est une manière d’habiter qui prend soin de la planète et de ses habitants et s’oppose à la destruction irréversible, qui sévit là où s’imposent les méthodes industrielles de production, qui se fait interdire de fait et en actes.

 


C’est pour cela que je propose de lui accorder internationalement un statut protecteur. Aussi parce que la déclaration des droits de l’Homme est dépassée sans avoir jamais été réellement d’application. Elle comporte des désuétudes, des contre-sens, des imprécisions qui la rendent inapplicable, nous le voyons chaque jour d’avantage entre les guerres, entre toutes les formes de violences faites aux habitants de la planète et à la dégradation généralisée de la qualité de vie des peuples de la planète. Relevons que quelques implicites suppose son application dans un monde capitaliste et colonialiste. J’y reviendrai.

 


Le point qui retiendra mon attention ici, c’est l’article 16 §3 :

 La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l'Etat.

 Cela ne vous choque pas, moi si. Quelle réduction des modes possibles d’organisation des humains entre eux qui crée une discrimination de fait entre ceux qui adoptent ce modèle et ceux qui deviennent des parias pour en voir adopté d’autres par choix ou par la force des choses.

 


C’est pour cela que je propose une « Charte Internationale du Droit à la Simplicité volontaire ». Je propose. Après que les choses face leur chemin, évoluent, s’enrichissent, se précisent aussi. L’important n’est pas le nom qu’on lui donne mais la manière dont elle assurera la protection d’un droit à la dissidence, d’un droit à la différence, d’un droit aussi à la ressemblance pour tous ceux qui font partie du peuple des humains quel que soit le territoire qu’ils occupent ou arpentent, sédentaires où nomades.

 



Un territoire fait de petites cellules sur toute la planète et des rhizomes qui relient ces cellules entre elles. Un grand courant à l’échelle planétaire et si déjà ma démarche pouvait aider à une prise de conscience : ce courant est sans doute le plus puissant courant à l’échelle de la planète et devrait faire sens comme tel d’abord pour celles et ceux qui le constituent mais aussi pour tous ceux qui pourrait à un moment où à un autre être amener à bénéficier de ses bienfaits et y trouver refuge.

 


Anne

 

 

Arrêtons cela!

 


Eva-Résistons à la crise

 

 

 


marie.reveuse @ yahoo.fr

 

 

___________________________________________________________________________________ 

 

Révision: 

Le 11 septembre marque le triste anniversaire d’une catastrophe hautement symbolique pour l’humanité. Peu importe nos croyances ou nos idées politiques.
Le système mis en place dans notre monde libre repose sur un sorte de contrat avec chacun d’entre nous.
Nous le signons chaque matin simplement en ne faisant rien.

 


Article 1

J’accepte la compétition comme base de notre système même si j’ai conscience que cela engendre frustration et colère pour l’immense majorité des perdants.


Article 2

J’accepte d’être humilié ou exploité à condition qu’on me permette à mon tour d’humilier ou exploiter quelqu’un occupant une place inférieure dans la pyramide sociale.


Article 3

J’accepte l’exclusion sociale des marginaux, des inadaptés, des faibles car je considère que la prise en charge de la société a ses limites.


Article 4

J’accepte de rémunérer les banques pour qu’elles investissent dans des salaires à leur convenance et qu’elles ne me reversent aucun dividende de leur gigantesques profits qui serviront à dévaliser les pays pauvres ; ce que j’accepte implicitement. J’accepte aussi quelle me prélève de fortes commissions pour me prêter de l’argent qui n’est autre que celui des autres clients. J’accepte...


Article 5

J’accepte que l’on congèle et que l’on jette des tonnes de nourriture pour que les cours ne s’écroulent pas, plutôt que de les offrir aux nécessiteux et permettre à quelques centaines de milliers de personnes de ne pas mourir de faim chaque année.


Article 6

J’accepte qu’il soit interdit de mettre fin à ses jours rapidement, en revanche je tolère qu’on le fasse lentement en inhalant ou en ingérant des substances toxiques autorisées par les états.


Article 7

J’accepte qu’on fasse la guerre pour faire régner la paix. J’accepte que, au nom de la paix la première dépense d’État soit le budget de la défense. J’accepte donc que les conflits soient créés artificiellement pour écouler les stocks d’armes et faire tourner l’économie mondiale.


Article 8

J’accepte l’hégémonie du pétrole dans notre économie bien qu’il s’agisse d’une énergie coûteuse et polluante et je suis d’accord pour empêcher toute tentative de substitution s’il s'avérerait que l’on découvre un moyen illimité et gratuit de l’énergie... Ce qui serait notre perte !


Article 9

J’accepte que l’on condamne le meurtre de son prochain sauf si les états décrètent qu’il est un ennemi en nous encourageant à le tuer.


Article 10

J’accepte que l’on divise l’opinion publique en créant des partis de droite et de gauche qui passeront leur temps à se combattre en me donnant l’impression de faire avancer le système.

J’accepte d’ailleurs toutes formes de divisions possibles pourvu qu’elles permettent de focaliser ma colère vers les ennemis désignés dont on agitera le portrait devant mes yeux.

 

Article 11

J’accepte que le pouvoir de façonner l’opinion publique, jadis détenue par les religions, soit aujourd’hui aux mains d’affairistes non élus démocratiquement et totalement libres de contrôler les états car je suis convaincu du bon usage qu’ils en feront.


Article 12

J’accepte l’idée que le bonheur se résume encore, l’amour au sexe et la liberté à l’assouvissement de tous mes désirs, car c’est ce que la publicité me rabâche toute la journée. Plus je serais malheureux et plus je consommerais. Je remplirais donc mon rôle en contribuant au bon fonctionnement de l’économie.


Article 13

J’accepte que le valeur d’une personne se mesure à la taille de son compte bancaire, que l’on apprécie son utilité en fonction de sa productivité plutôt que de sa qualité et qu’on l’exclu du système si elle n’est plus assez productive.


Article 14

J’accepte que l’on paie grassement les joueurs de football ou les acteurs et beaucoup moins les professeurs et les médecins chargés de l’éducation et de la santé des générations futures.


Article 15

J’accepte que l’on mette au banc de la société les personnes âgées dont l’expérience pourrait nous être utile car, étant la civilisation la plus évoluée de la planète et sans doute de l’univers nous savons que l’expérience ne se partage ni ne se transmet.


Article 16

J’accepte que l’on me présente des nouvelles négatives et terrifiantes du monde tous les jours pour que je puisse apprécier à quel point notre situation est normale et combien j’ai de la chance de vivre en occident. Je sais qu’entretenir la peur dans mon esprit est bénéfique pour moi.


Article 17

J’accepte que les industriels, les militaires, les politiciens se réunissent régulièrement pour prendre sans me concerter des décisions qui engagent l’avenir de la vie et de la planète.


Article 18

J’accepte de consommer de la viande bovine et autres traités aux hormones sans qu’on me le signale explicitement. J’accepte que la culture des OGM se répande dans le monde entier permettant ainsi aux trusts agro-alimentaires de breveter le vivant, d’engranger des dividendes conséquents, de tenir sous leur joug l’agriculture mondiale.


Article 19

J’accepte que les banques internationales prêtent de l’argent aux pays souhaitant s’armer et se battre et de choisir ainsi ceux qui feront la guerre et ceux qui ne la feront pas. Je suis conscient qu’il vaut mieux financer les deux côtés afin d’être sur de gagner de l’argent et faire durer les conflits le plus longtemps possible afin de pouvoir totalement piller leurs ressources s’ils ne peuvent rembourser leurs emprunts.


Article 20

J’accepte que les multinationales s’abstiennent d’appliquer le progrès social de l’occident dans les pays défavorisés, considérant que c’est déjà une embellie de les faire travailler. Je préfère qu’on utilise les lois en vigueur dans ces pays permettant de faire travailler des enfants dans des conditions inhumaines et précaires.
Au nom des droits de l’homme et du citoyen nous n’avons pas le droit de faire de l’ingérence !

 
Article 21

J’accepte que les hommes politiques puissent être d’une honnêteté douteuse et parfois même corrompus. Je pense d’ailleurs que c’est normal vu les professions qu’ils subissent.
Pour la majorité par contre, la tolérance zéro est de mise.


Article 22

J’accepte que les laboratoires pharmaceutiques et les industriels de l’agro-alimentaire vendent dans les pays défavorisés les produits périmés ou utilisent des substances cancérigènes interdites en occident.


Article 23

J’accepte que le reste de la planète c’est à dire quatre milliards d’individus puissent penser différemment à condition qu’ils ne viennent pas exprimer ces croyances chez nous et encore moins tenter d’expliquer notre histoire avec ces notions philosophiques primitives.


Article 24

J’accepte l’idée qu’il existe que deux possibilités dans la nature, à savoir chasser ou être chassé et si nous sommes doué d’une conscience et d’un langage ce n’est certainement pas pour échapper à cette dualité mais pour justifier pourquoi nous agissons de la sorte.


Article 25

J’accepte de considérer notre passé comme une suite ininterrompu de conflits, de conspirations politiques et de volontés hégémoniques et je sais qu’aujourd’hui tout ceci n’existe plus, car nous sommes au sommet de notre évolution et que les seules règles régissant notre monde sont la recherche du bonheur et de la liberté de tous les peuples comme nous l’entendons tous les jours dans nos discours politiques.


Article 26

J’accepte de discuter. Je considère comme vérité toutes les théories proposées pour l’explication du mystère de nos origines et j’accepte que la nature ait pu mettre des millions d’années pour créer un être humain dont le seul passe-temps soit la destruction de sa propre espèce en quelques instants.


Article 27

J’accepte la recherche du profit comme but suprême de l’humanité et l’accumulation des richesses comme l’aboutissement de la vie humaine.


Article 28

J’accepte la destruction de la quasi disparition des poissons de nos rivières et de nos océans. J’accepte l’augmentation de la pollution industrielle et la dispersion de poisons chimiques et d’éléments radioactifs dans la nature. J’accepte l’utilisation de toutes sortes d’additifs dans mon alimentation car je suis convaincu que si on les met elles sont utiles et sans danger.


Article 29

J’accepte la guerre économique sévissant sur la planète même si je sens qu’elle nous mène vers une catastrophe sans précédent.


Article 30

J’accepte cette situation et j’admets que je ne peux rien faire pour la changer ou l’améliorer.


Article 31

J’accepte d’être traité comme du bétail car tout compte fait je pense que je ne vaut pas mieux.


Article 32

J’accepte de ne poser aucune question, de fermer les yeux sur tout ceci et de ne formuler aucune véritable opposition car je suis bien trop occupé par ma vie et mes soucis.

J’accepte même de défendre à la mort ce contrat si vous me le demandez.


Article 33

J’accepte donc en mon âme et conscience et définitivement cette triste matrice que vous placer devant mes yeux pour m’empêcher de voir la réalité des choses. Je sais que vous agissez pour mon bien et celui de tous et je vous en remercie.

 
Fait par amitié sur la terre le 11 septembre 2003 par un anonyme....


 


 

 


http://terrepacifique.info/textes/videos.html (Le contrat)

Faites circuler sans modération...

 





 
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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 10:03

Ne pas faire son jugement en fonction de celui des autres, et ne pas prendre pour argent comptant ce qui est dit ou suggéré par les médias, la publicité, les responsables politiques.

Faites usage de votre libre-arbitre et de votre discernement. Posez-vous toujours la question de savoir ce que VOUS pensez, en fonction de votre vision et de ce que vous ressentez réellement.

Tout en étant simultanément ouvert et tolérant vis à vis des autres visions ou perceptions.


Celui dont l'esprit ne produit aucune pensée autonome et ne contient rien d'autre que ce qu'on y a déversé est pour ainsi dire "sans valeur ajoutée". Fonctionnellement, ce n'est qu'un "récipient".


Suite ICI
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16 avril 2009 4 16 /04 /avril /2009 11:39


Si tu es né dans les années 40, 50, 60 , comment as-tu survécu ?!??

Les voitures n'avaient pas de ceintures de sécurité, pas d'appuie-tête et bien sûr pas d'airbags. Sur la banquette arrière, c'était "rigolo" et pas "dangereux". (relisez dans une des bandes dessinées de Snoopy: un des enfants explique à l'autre ce que c'est être enfant: "c'est quand on rentre le soir en voiture de pouvoir être couché tranquillement sur la banquette arrière pendant que papa et maman s'occupent de tout; et une fois qu'on sera adulte plus jamais ce ne sera comme ça" - plus jamais ? demande l'autre - plus jamais, répond le premier, alors l'autre enfants se met à trembler et dit au premier : "serre-moi fort !") maintenant ...

Les barreaux des lits et les jouets étaient multicolores ou du moins vernis avec des peintures contenant du plomb ou d'autres produits toxiques.

Il n'y avait pas de sécurité enfant sur les prises électriques, portières de voitures, médicaments et autres produits chimiques ménagers.

On pouvait faire du vélo sans casque. C'est quoi c'truc ? Une cuirasse peut-être aussi ? Et pour aller travailler à pied il faut quoi ? Une tenue de joueur de football américaine? Et ne me parle pas des escaliers au bureau... il faut mettre un casque aussi là ? Des fois qu'un dossier vous tomberait sur la tête ? Qui est-ce qui est tombé sur la tête là? J'hallucine !

On buvait de l'eau au tuyau d'arrosage, à une fontaine ou à n'importe quelle autre source, sans que ce soit de l'eau minérale sortie d'une bouteille stérile (et recouvert de bisphénol A (toxique)! )...

On construisait des caisses à savon et ceux qui avaient la chance d'avoir une rue asphaltée en pente devant chez eux pouvaient tenter des records de vitesse et se rendre compte à mi-chemin que les freins avaient été oubliés... Après quelques accidents, le problème étaient en général résolu !

On avait le droit de jouer dehors à la seule condition d'être de retour avant la nuit.

Et il n'y avait pas de portable (producteurs de radiations micro-ondes) et personne savait où l'on était et ce qu'on faisait...Incroyable !

L'école durait jusqu'à midi, on pouvait rentrer manger à la maison. (c'est évident ! pourquoi ? Il y en a qui sont enfermés même le midi comme dans une caserne ? !)

On avait des écorchures, des fractures et parfois même on se brisait les dents, mais personne n'était mis en accusation pour ça. (Eh oui on n'était pas dans un état policier, l'Europe occidentale c'était encore "Le Monde Libre") Même quand il y avait une bagarre, personne n'était coupable à part nous-mêmes.

On pouvait avaler des tonnes de sucreries, des tartines avec des tonnes de beurre et boire des boissons avec du VRAI SUCRE, mais personne n'avait de problèmes d'excès de poids, car nous étions toujours dehors. (Et il n'y avait pas d'aspartame (toxique) ni de traitement agricoles (toxiques) ni d'additifs autorisés "européen" (toxiques), peu de microparticules diesel (cancérigènes), ni d'uranium apauvri (cancérigène))

On pouvait se partager une limonade dans la même bouteille sans risquer d'attraper des maladies.

Nous n'avions pas de Playstation, Nintendo 64, X-Box, jeux vidéo, 99 programmes de TV sur câble ou satellite, pas de vidéo, de Dolby surround, de portable, d'ordinateur, de chat room en amerlocque dans texte, sur Internet, mais nous avions... des amis ! (et si on n'en avait pas on pouvait rêver).


On pouvait sortir, à pied ou en vélo pour aller chez un copain, même s'il habitait à plusieurs KM, frapper à la porte ou simplement rentrer chez lui pour le prendre pour jouer avec nous. Dehors, oui dehors dans le monde cruel ! Sans surveillance ! (eh oui on n'était pas en prison) Comment cela a-t-il pu être possible ?

On jouait au foot avec un seul but et si l'un d'entre nous n'était une fois pas sélectionné, pas de traumatisme psychologique, c'était pas la fin du monde !

Parfois un élève peut-être un peu moins bon que les autres devait redoubler. Personne n'était alors envoyé chez les psychologues ou pédopsychiatres. Personne n'était dyslexique, hyperactif ou avait des "problèmes de concentration". L'année était redoublée, (ce qui est de loin la meilleure des solutions) et chacun avait les mêmes chances que les autres.

Nous avions des libertés, des échecs, des succès, des devoirs et des tâches... une vie quoi ! Et nous apprenions à vivre avec.

La question du jour est donc:


Mais comment avons-nous survécu?
Comment avons-nous pu développer notre personnalité ?



A voir:

FAIRE SA REVOLUTION : http://vimeo.com/3925987


L'An 01 : http://www.fedbac.tv/film-6013.html

Article envoyé ni + ni - par un internaute


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10 mars 2009 2 10 /03 /mars /2009 09:33

Hého les jeunes, vous m’entendez ? C’est à vous que je m’adresse. Vous avez une chance inouïe. Vous allez sans doute vivre une des époques trépidantes comme l’Histoire n’en procure pas une par génération. Des moments inoubliables de transition civilisationnelle vers une nouvelle époque, un nouveau monde. Tout peut tourner boudin comme tout peut sourire. Ça dépend aussi de vous. Et de votre capacité à briser ces damnés schémas mentaux, enracinés par notre éducation, qui nous paralysent. Explications…


Vous avez beau vous proclamer comme des révolutionnaires les plus jusqu’au-boutistes, brailler que les vieilles valeurs ont vécu leur temps, que vous vous n’en avez rien à battre, impossible de vous en défaire. Au dernier moment, les vieux carcans inconscients de votre éducation vous reviennent comme une montée d’ail, des réflexes incontrôlables à la Pavlov, des fils inextricables dans lesquels vous vous empêtrez. Regardez autour de vous, c’est tout le monde pareil. Exemples…


L’argent, d’abord, la valeur suprême de ce monde finissant. Ce que vous avez pu le maudire celui-là, le vouer aux gémonies. Pourtant, il nous colle à la peau. Que demandent nos braves partis de la “vraie gauche” en ces temps de prétendue pénurie ? Une réévaluation des bas-salaires pour relancer la consommation ! Sans argent, on ne peut rien obtenir, rien acheter, nous assène-t-on. Il faut “mieux répartir les richesses”, surenchérissez-vous, en confondant allègrement richesses et argent. Et les autres sournois, en face, d’en rajouter : il faut faire “des économies” (d’argent), l’argent manque, la dette…

En réalité, l’argent n’est pas rare du tout. Les patates, la viande, le pétrole, l’or peuvent être rares.


L’argent, lui, est une pure invention des humains. À l’origine, un simple moyen d’échange des biens et des services produits. On le traduisait alors en pièces, puis en billets. La rareté de l’argent était censée refléter la rareté des biens et des services que l’état des techniques permettait alors de se partager. Mais aujourd’hui ? Notre planète croule littéralement sous l’indigestion de “richesses” que nous avons fabriquées à la pelle. Et l’argent n’est plus qu’un jeu pour un clan d’oisifs repus. L’argent n’est rien d’autre que des jeux d’écritures sur du papier ou dans des ordinateurs.


L’argent n’est pas rare. Il n’est rendu rare que pour certains, généralement par ceux qui pensent se l’être approprié et qui se servent de cette fausse “rareté” pour dominer les premiers. Le jeu, toujours. Pourtant, paradoxalement, cet argent n’existe pas ! Si aujourd’hui, tous les riches du monde se précipitaient dans les paradis fiscaux pour en retirer leurs tas de fric, ils n’obtiendraient rien ! J’explique…


Quand vous mettez mille euros sur votre compte, la banque a le droit d’utiliser cette somme cinq fois. C’est-à-dire qu’elle va prêter cette somme une fois à quelqu’un qui, par ses dépenses ou ses placements, va le ré-injecter dans le circuit bancaire qui va le reprêter… Et ainsi de suite cinq fois ! Aujourd’hui, pour alimenter leur machine économique goinfresque, la valse des sous va jusqu’à neuf tours. Et jusqu’à une bonne trentaine dans les circuits les plus dingues (les subprimes, Madoff…)


L’illusion ne fonctionne que si la machine économique tourne à plein régime. Mais supposez que celle-ci cale, comme en ce moment, et que cinq gugusses viennent chacun réclamer vos mille euros de départ. Eh bien, les cinq zigs se foutent sur la gueule et la banque est en faillite ! Pareil pour les paradis fiscaux. Ça vous en bouche un coin, n’est-ce pas ?


La dictature mentale de l’argent, n’est pas le seul carcan dont nous devons nous défaire. Prenez le travail, cette foutue arnaque qu’est la valeur-travail. “Pas d’emplois, pas de sou”, nous serine-t-on, de droite comme de gauche, ou d’extrême-gauche. L’économie ne consisterait plus à produire des biens et des services utiles, mais à garantir des emplois ! Alors que les technologies nouvelles et la productivité permettraient évidemment de limiter les heures de travail et de soulager le monde d’une bonne partie du stress qui en résulte. Alors que, vous le savez bien, il y a des tas de choses qu’on peut maintenant s’échanger sans avoir d’argent : les logiciels libres, la musique, les films, les infos du web…

Évidemment, ceux d’en face ne manquent jamais de hurler à l’ “illégalité” ou à la “nocivité” de ces échanges économiques hors argent. Mais l’illégalité, la légalité, la “nocivité”, c’est souvent affaire de perspective. Quelle différence entre vous qui fauchez “illégalement” une paire de Nike qui croupissait dans un magasin et les marlous qui s’octroient “légalement” des millions et des millions en stock-options ou en parachutes dorées ? Qui est le plus nocif à la collectivité ?


Et la croissance. “Sans croissance, pas d’emplois, et sans emplois pas de pépettes.” Mais quelle croissance ? Pour produire quoi de plus ? Et pour quoi ? Nous avons déjà bousillé toutes nos ressources naturelles et nos conditions climatiques de vie.


Et la fameuse inéluctabilité du processus, “leur” processus. La mondialisation triomphante, la destruction de toute régulation sociale au nom de la modernité…


Non non, les petits jeunes, tout ça c’est des embrouilles ! Si vous n’arrivez pas à éradiquer ces billevesées de vos cerveaux, vous allez droit dans le mur. Regardez les banlieues. On a lobotomisé tous ces loupiots avec les valeurs/carcans qu’ils devaient respecter pour “réussir”. Ils se rendent bien compte que c’est des charres, qu’ils n’ont aucune chance de sortir de leur ghetto. Mais en même temps, au plus profond d’eux-mêmes, ils ne parviennent pas à se délivrer d’un insidieux sentiment de culpabilité. Voilà pourquoi ils détruisent leur propre univers, leurs cages d’escaliers, leurs écoles, leurs quartiers. Voilà pourquoi beaucoup méprisent leurs parents qui, souvent en toute innocence, du fond de leur chômage chronique, leur ont inculqué ces imbouffables salades.


Ne passons pas d’un extrême à l’autre. Bien sûr que nous n’allons pas supprimer l’argent, le travail, les efforts… Mais arrêtons de prendre pour argent comptant les sornettes avec lesquelles ces salauds nous tenaient en respect. Avant de leur voler dans les plumes et de les mettre hors d’état de nuire, commençons par nous débarrasser de nos propres carcans mentaux. Se réapproprier les “valeurs” perverties, les mettre sur le tapis en toute conscience revenue. Les réorganiser. Dédommager ceux qui se coltinent les boulots nécessaires, mais surtout permettre à tous de pouvoir vivre décemment, y compris les chanceux qui, par la force des choses, échappent aux corvées. Rendre à l’argent sa vraie fonction : un simple moyen d’échange.


Voilà la véritable mission, la “révolution”, que vous avez maintenant à mener, les jeunots. Nous, les plus chenus, nous allons prendre nos cannes et tenter de vous suivre. On va se marrer, vous allez voir…


Volé ICI  et sans complexe



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