Nous ne cherchons pas à être méchants, mais il faut s'en tenir aux faits. Nous ne souhaitons pas heurter les sentiments de certains mais nous voulons rester académiquement corrects dans ce que nous comprenons et tenons pour vrai. Le Christianisme n'est tout bonnement pas basé sur la vérité. Nous trouvons que la Chrétienté est en fait rien de plus qu'une histoire romancée développée politiquement. La réalité c'est que Jésus était la divinité du Soleil de la secte gnostique du Christianisme. Et comme tous les dieux païens il était un personnage de la mythologie c'est la classe politique de l'époque qui vit un intérêt d'utiliser l'histoire du personnage de Jésus pour contrôler la société.
En l'an 325 après J-C à Rome, l'empereur Constantin réunit le Concile de Nicée. C'est au cours de ce rassemblement que les doctrines politiques du Christianisme furent établies. Et ainsi commença la longue histoire des massacres chrétiens et de l'imposture spirituelle. Et pendant les 1600 prochaines années, le Vatican maintint son emprise politique sur toute l'Europe nous conduisant vers des époques aussi joyeuses que l'Âge des ténèbres ou vers des événements rayonnant comme Les Croisades et l'Inquisition.
Le Christianisme ainsi que d'autres systèmes de croyances théologiques sont des impostures de l'Histoire. Elles visent à couper les espèces du monde naturel et diviser les hommes entre eux. Elle soustrait la soumission aveugle à l'autorité. "La religion ne réformera jamais l'humanité car la religion c'est l'esclavage." Elle réduit la responsabilité de l'homme au fait que Dieu contrôle Tout et qu'en échange, d'atroces crimes sont justifiés au nom de projets divins.
Plus important encore, il donne le pouvoir à ceux qui connaissent la vérité et utilisent le Mythe afin de manipuler et contrôler les sociétés. Le mythe religieux est un des dispositifs les plus puissants jamais créés et sert de terrain psychologique sur lequel d'autres mythes peuvent s'enraciner.
Le mythe, c'est une idée communément acceptée mais fausse. De manière plus approfondie et au sens religieux, un mythe se sert d'une histoire qui oriente et catalyse le peuple. L'intérêt n'est pas tant dans la relation entre l'histoire et la réalité mais sur sa fonction. Une histoire ne peut fonctionner qu'à condition que la communauté ou la nation croient en cette vérité. Il ne s'agit pas de juger si c'est mal que les gens questionnent la vérité ou l'histoire sacrée. Car les gardiens de la foi n'entrent pas dans ce débat avec eux. Ils les ignorent, ou les traitent de blasphémateurs. Selon vous c'est mal, blasphématoire et c'est un péché que de conseiller, de s'impliquer ou d'aider la population et de conclure que c'est le gouvernement des U.S.A qui a tué 3000 de ses citoyens.