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28 septembre 2014 7 28 /09 /septembre /2014 18:29


http://beaute-revolution.fr/wp-content/uploads/2014/06/panier-fruits-et-l%C3%A9gumes.jpgDes études publiées dans Proceedings of The National Academy of Science révèlent que manger des petites quantités d'aliments naturels ou simplement moins manger améliore à la fois la santé et la longévité. Le respect de ce principe de restriction calorique concerne avant tout les personnes âgées qui peuvent ainsi augmenter leur espérance de vie en bonne santé de 40 %. La recette consiste à manger intelligemment, a pratiquer de l'exercice physique, à bien se reposer et à vivre dans l'action.

 

Des recherches menées et répercutées à un niveau international démontrent que notre espérance de vie pourrait atteindre 120 ans en moyenne si nous vivions et mangions correctement, notamment en réduisant notre bol alimentaire.

 

L’une des plus hautes autorités en matière d'augmentation d'espérance de vie, le Dr Roy Walford du Centre médical de l'université de Californie à Los Angeles, a prouvé que notre santé s'améliore de façon globale lorsque nous réduisons notre consommation alimentaire.

 

Tous les livres de référence qui traitent de la longévité mettent l'accent sur l'importance de prises alimentaires réduites pour allonger notre espérance de vie. Louvrage The Fountain of Youth: Culture, Scientific and Ethical Perspectives on Biomedical Goals (Oxford University Press) est un véritable recueil d'experts des différents domaines résumés dans le titre du livre: « La fontaine de jouvence: Les perspectives culturelles, scientifiques et éthiques dans des buts biomédicaux ». Dans tous les débats sur la relation entre l'alimentation et le vieillissement, ces scientifiques réputés mettent l'accent sur la nécessité de moins manger pour gagner en vitalité et en espérance de vie.

 

Richard Weindruch, Ph.D., qui fut attaché au National lnstitute of Health, a dirigé des travaux non dommageables et respectueux sur un large éventail d'animaux, y compris des mammifères. On leur donna à tous un grand nombre de compléments alimentaires apportant l'ensemble des nutriments nécessaires à leur fonctionnement (vitamines, minéraux, oligoéléments, protéines.. .). On appela cette expérience « Nutrition insuffisante sans malnutrition ». Les sujets qui y ont été soumis ont presque uniformément augmenté leur vitalité, leurs capacités fonctionnelles et leur longévité (parfois de plus de 300 % pour certaines espèces) ; ils ont aussi atténué l'incidence et/ou guéri de maladies aussi graves que le ou de maladies auto-immunes (dans les cas rares de participants atteints de telles affections).

 

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 02:34

Que du bonheur!

 

 

 

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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 19:52

http://www.buddhachannel.tv/portail/local/cache-vignettes/L403xH350/soja_fruit-ff01e.jpgQuand j’ai commencé à m’intéresser aux aliments bons pour la santé, je croyais que le soja était un « aliment miracle ». On disait que ses bénéfices sur la santé permettaient de tout améliorer (cancer du sein, taux de cholestérol élevé, et même les maladies de cœur). Pour les végétariens, le soja était conseillé comme source de protéines à la place de la viande.

Mais après avoir rencontré le Dr Brian Clement à l’institut de santé Hippocrate, j’ai été surpris d’apprendre que ce que je croyais au sujet du soja n’était qu’un mythe. En 2002, la culture du soja a rapporté plus de 18 milliards de dollars sur une surface record de 750 000 hectares. Le soja a fourni 80 % de la consommation des matières grasses et des huiles comestibles aux Etats-Unis, et on a exporté des produits à base de soja vers plus de 100 pays du monde entier. En économie, un large éventail de l’industrie alimentaire utilise le soja dans les vinaigrettes, les huiles de cuisson, les émulsifiants (lécithine), le pain, les biscuits et les céréales, les plats préparés et pour les animaux comme source de protéines. En général, les préparations pour nourrissons, les boissons, ensuite les barres protéinées, les substituts de lait, le tofu, etc.… sont dans l’ordre notre première consommation (à risques) de soja.

Le soi-disant « géant alimentaire » a finalement succombé après un examen minutieux. Les recherches récentes nous fournissent maintenant des études appropriées à long terme sur la consommation alimentaire. Jadis considéré comme ayant un effet bénéfique, le soja à haute teneur en œstrogènes est désormais perçu ayant, pour l’essentiel, un préjudice sur la santé. En effet, il n’y a pas de nourriture plus dangereuse utilisée par la biotechnologie que le soja, sachant que 97 % de la récolte en Amérique a été génétiquement modifiée.

Bien que le soja, lors des analyses en laboratoire, contienne une pléthore d’éléments nutritionnels, y compris les acides aminés essentiels, il est quasiment impossible d’absorber ces nutriments. Cela est dû à des millénaires d’hybridation de cette légumineuse. Mélangeant un haricot avec un autre maintes et maintes fois a radicalement changé la structure moléculaire du soja, ce qui le rend presque imperméable pour le système digestif. C’est pourquoi il est de plus en plus évident que la plupart des gens souffrent de problèmes digestifs associés à l’ingestion de produits à base de soja. Même les isoflavanoides qui font partie de ce haricot ne peuvent être absorbés par le corps humain, provocant la mutation de celles-ci en dizain et génistéine. Ces éléments se lient au zinc et interfèrent avec les protéines et les enzymes digestives, trypsine et œstrogènes antagonistes. Il a été également constaté que le soja contenait se l’acide phytique, qui interfère avec l’assimilation du calcium, du magnésium, du cuivre, du fer et du zinc. Les aliments transformés à base de soja contiennent des niveaux élevés de MSG, de fluorure et de l’aluminium, qui sont toxiques pour le système nerveux. Quand les fabricants de produits alimentaires transforment le soja, des substances cancérigènes sont créées (telles que nitrosamine et lysine alanine).

http://www.tao-yin.com/acupuncture/img/soja_lait.jpgDans le soja génétiquement modifié, d’autres substances peuvent contribuer à des problèmes digestifs connus chez les personnes ayant des problèmes de thyroïde ; parmi ces substances, on y trouve de puissants inhibiteurs d’enzymes qui bloquent la digestion des protéines, et ces substances peuvent créer des lectines qui sont fortement inflammatoires du tube digestif. Nous commençons seulement à découvrir les risques, pour la santé, des cultures génétiquement modifiées. Actuellement, il est difficile d’évaluer les risques de ces aliments par rapport aux risques bien établis des produits chimiques, des médicaments ou des additifs alimentaires. Cependant, cela ne veut pas dire que les OGM soient des aliments moins nocifs.

Quand il s’agit de cultures génétiquement modifiées, on incorpore un ou plusieurs gènes dans le génome des cultures utilisant un vecteur contenant d’autres gènes. Quelquefois l’ADN n’est pas toujours brisé dans le tube digestif. Les bactéries présentes dans l’intestin peuvent prendre des gènes. Cela conduit à la modification génétique des plasmides qui peut permettre la propagation de la résistance aux antibiotiques. L’insertion de gènes peut être imprévisible et entraîne le développement des effets allergisants toxiques inconnus. Des tests fréquents sont nécessaires pour vérifier les conséquences possibles sur la santé humaine. En 1996, les scientifiques ont découvert que le soja manipulé pour qu’il porte des gènes de noix du Brésil riche en protéines, contenait également ses propres propriétés allergisantes. L’industrie pharmaceutique fabriquant des antibiotiques utilise des marqueurs dans presque chaque organisme génétiquement modifié pour montrer que tel organisme a été conçu avec succès. Cela contribue à la diminution de l’efficacité des antibiotiques contre les maladies.

Beaucoup de graines de soja génétiquement modifiées, telles que « Roundup Ready », ont été conçues pour permettre aux agriculteurs de pulvériser de fortes doses de pesticides sur leurs terres sans mettre en danger leurs récoltes de soja. Un des experts britannique de la Sécurité Alimentaire, Malcolm kane, a révélé que les résidus de pesticides sur le soja a augmenté de 200 fois et peut se retrouver dans une grande variété d’aliments.

Dans le monde entier, des millions d’enfants reçoivent des préparations à partir de soja transformé, il est fort probable que la plupart des variétés ont été génétiquement modifiées. Une des études montre que le soja est la cause directe de malformation des organes génitaux masculins. En outre, on a découvert que le soja était dépourvu des facteurs qui sont nécessaires au développement normal du cerveau, y compris les acides gras essentiels, l’ADH et le cholestérol.

Il y a beaucoup de preuves scientifiques que le soja peut être dommageable pour les nouveau-nés en raison du niveau élevé d’acide phytique, d’inhibiteurs d’enzymes, de manganèse et de phytoestrogènes . Des niveaux élevés de manganèse sont toxiques pour les nourrissons parce qu’ils nuisent à la barrière hématoencéphalique qui se développe beaucoup plus tard dans la vie. Dr W.C. Douglass a signalé dans ses conclusions que la puberté précoce chez les filles (dès l’âge de 7 ans) et le retard de celle-ci chez les garçons avec confusion de leur identité sexuelle, est de plus en plus fréquents en raison de la diminution de l’allaitement maternel et de plus de consommation de soja. Dr Douglass déclare que les bébés qui prennent du lait de soja reçoivent l’équivalent de 5 contraceptifs oraux par jour en ce qui concerne les œstrogènes. Les gouvernements britannique, français, israélien et néo-zélandais découragent la consommation de lait de soja. Dans la Chine ancienne, le soja était cultivé comme plante couvre-sol et enfoui dans la terre pour fertiliser le sol. Initialement, le chinois mangeait des petites quantités d’aliments à base de soja fermenté, mais pas le haricot lui-même. Tous les maux qui concernent la consommation de soja sont grandement réduits lorsque le soja est fermenté, ce qui le rend digeste. Dans la plupart des cas, une utilisation occasionnelle de soja fermenté peut faire partie d’une alimentation saine.

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