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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 09:08
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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 08:56
http://popolon.org/gblog2/wp-content/uploads/2007/03/cerisier_acrylique1.jpgCertaines relations sont toxiques. Même si c'est difficile lorsqu'on est lié affectivement, il faut parfois se poser des questions: Quel bénéfice trouve t'on dans cette relation destructrice? Existe-il réellement un possibilité d'évolution? Rompre est parfois la seule alternative.
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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 02:16

http://www.journaldumali.com/images/articles/25/1247479547792.jpg

 

Mais comment ça marche?

A quoi ça sert la banque?

Qu'est c'qu'ils font d'notre blé et de çui qu'on leur rembourse en plus? -ou pas

plein de bon sens, voici:

la banque "expliquée aux Nuls", 

en termes clairs et simples

donc à vous hahahahaahaha...

Le mécanisme de la dette

Vous vous rendez dans une banque demander un prêt, par ex 10.000 Unités de Monnaie (UDM).

Cette banque pourrait vous prêter une partie des économies de ses autres clients. Le total des prêts accordés à tous les demandeurs serait donc au maximum le total des économies déposées par tous les épargnants. Or, les banques prêtent bien plus de sous qu'elles n'en ont dans leurs coffres. C'est légal, elles ont le droit d'agir ainsi. Les banques prêtent donc des sous qu'elles n'ont pas.

Comment? Par un jeu d'écritures très simple: on crée d'un côté une colonne "moins" avec 10.000 UDM que vous devez rembourser, et de l'autre côté une colonne "plus" avec 10.000 UDM que vous pouvez dépenser.

Le côté "plus", c'est le prêt, c'est de la monnaie que vous pouvez utiliser.

Le côté "moins", c'est votre dette.

Lorsque vous remboursez, le côté "moins" diminue pour tendre vers zéro.

Car, avant ce jeu d'écritures, la banque possède "zéro". Après le jeu d'écritures, il y a encore zéro puisque d'un côté on a plus 10.000 UDM, et de l'autre moins 10.000 UDM. Mais grâce à cette opération, 10.000 UDM ont été créés à partir de RIEN, et deviennent utilisables dans le monde RÉEL. Et il existe une contrepartie à ce "rien" devenu 10.000 UDM: vous êtes endetté pour cette même somme. Car bien que cet argent ait été créé à partir de rien, vous devez le rembourser.

La colonne "moins" permet à la banque d'exiger de vous un remboursement, et même de saisir vos biens (réels) si vous ne pouvez pas rembourser. En cas de non remboursement de cet argent créé à partir de RIEN, la banque saisira vos biens RÉELS: voiture, logement, meubles, bibelots, électroménager, hi-fi, etc.

Supposons que vous remboursiez. Vous rendez, en une ou plusieurs fois, les 10.000 UDM créés à partir de rien puis mis à votre disposition. La colonne "moins" 10.000 UDM passe à zéro. Nous revenons à la situation initiale: l'argent qui n'existait pas n'existe plus.

Mais ...

... la banque vous demande de lui verser, en plus de la somme prêtée, des intérêts. La banque vous a donné une somme d'argent, donc (en théorie) vous pouvez lui rembourser cette même somme d'argent. C'est comme un objet prêté que vous rendez. Par contre, la banque ne vous donne PAS de quoi lui verser des intérêts. Vous devez donc prélever ces intérêts sur la masse monétaire en circulation.

Or, normalement, la monnaie en circulation est (devrait être) le reflet du volume de biens et de services disponibles à un moment donné:

les consommateurs doivent (devraient) pouvoir acheter TOUS les biens et services disponibles,

les producteurs doivent (devraient) pouvoir écouler TOUTE leur production.

S'il y a plus de biens et services disponibles, il est normal d'augmenter la masse monétaire en circulation, afin que les achats puissent s'effectuer correctement (ou de baisser les prix, tout dépend du cas de figure et des choix).

Or, le mécanisme de la dette prélève de l'argent "réel" en circulation (correspondant aux biens et services réels disponibles sur le marché) pour le détourner vers les banques. Et cet argent ne sert pas uniquement à payer les salaires des employés de banque. Une partie devient PROPRIÉTÉ des banques. Les banques s'approprient de l'argent "réel" ("réel" car cet argent est un pouvoir d'achat sur des biens réels).

Chaque mois, des millions d'endettés (individus, entreprises, pays) versent des intérêts à leur banque. Ils rendent aux banques de l'argent emprunté, qui a donc temporairement augmenté la masse monétaire en circulation, et ce remboursement est normal. Mais en plus, à cause des intérêts, ils diminuent la masse monétaire "réelle" en circulation. A l'échelle d'un pays ou de notre planète, les banques s'approprient une énorme partie de la monnaie "réelle" et influent sur la facilité des échanges de biens et services réels.

S'il manque de l'argent en circulation, les clients ne peuvent acheter, les producteurs ne peuvent vendre, les banques s'approprient les biens des individus ou entreprises en faillite.

S'il y a trop d'argent en circulation, les prix flambent.

Avec cet argent, les banques peuvent à leur tour acheter des biens et services RÉELS. Les banques vont ainsi bien plus loin que leur rôle de gestionnaires de comptes et de prêteurs: elles attirent à elles, via les remboursements ou les saisies, de vastes quantités d'argent leur permettant de devenir petit à petit propriétaires de terrains, d'immeubles, d'entreprises, de médias, etc.

Les banques peuvent aussi garder pour elles une partie de ces sommes colossales, diminuant ainsi la masse monétaire en circulation, et freinant l'activité économique réelle. Les usines sont là, les machines sont là, les ouvriers sont là, mais plus rien ne fonctionne!!! Les banques peuvent aussi, à l'opposé, décider de créer suffisamment d'argent pour qu'un dictateur puisse financer une guerre ...

De plus ...

... quantité d'individus, d'entreprises, de pays, n'arrivent pas à verser leurs intérêts mensuels. Beaucoup de ces "entités", plutôt qu'on saisisse leurs biens (réels), demandent alors de nouveaux prêts afin de rembourser les anciens. Leur dette ne fait que croître. Ces "entités" en arrivent à verser aux banques PLUSIEURS FOIS le montant du prêt initial.

Et dans le cas des pays, lorsqu'ils ne peuvent pas rembourser, les banques peuvent exiger d'eux diverses mesures économiques. Les banques peuvent par ex demander aux pays endettés de s'ouvrir aux importations des usines détenues par ces mêmes banques (ou par les financiers possédant les banques). Elles peuvent aussi exiger de ces pays qu'ils orientent leur production vers l'exportation afin de récupérer davantage d'argent chez les autres pays, et donc afin de pouvoir verser toujours davantage d'intérêts. Les banques prennent ainsi le contrôle de pays entiers. On peut en arriver à ne plus utiliser les terres agricoles pour les besoins des habitants de ces pays, mais pour cultiver des produits exportables. On peut en arriver (c'est la triste réalité) à connaître pauvreté, malnutrition, famine, dans des pays exportateurs de nourriture! C'est le cas de beaucoup de pays du tiers-monde aux mains du FMI (Fond Monétaire International), de la Banque Mondiale et de l'OMC (Organisation Mondiale du Commerce). Et ce trio s'intéresse de + en + à l'Europe ...

De plus (encore) ...

... l'argent des individus, entreprises, pays, ayant dépensé leurs prêts, se retrouve au final entre les mains d'un petit nombre de financiers (y compris des banques). Les millions de petites et grosses dettes sur notre planète, càd les millions de colonnes "moins", ont pour contrepartie quelques centaines ou milliers de  "gros possédants" ayant récupéré cet argent.

Une grosse partie, si ce n'est la totalité, des grosses fortunes, est donc la contrepartie des millions de dettes dans toutes les banques de tous les pays.

Je rappelle que les banques ont créé ces énormes quantités d'argent à partir de rien: d'un côté de la monnaie qui circule, de l'autre des dettes à rembourser. Les banques ont permis ARTIFICIELLEMENT d'un côté les grosses fortunes, de l'autre côté des millions d'endettés (individus, entreprises, pays).

Or je rappelle que la somme de tout ça est ZÉRO! La masse monétaire en circulation, nécessaire aux échanges de biens réels, est à peu de choses près la même, mais en plus on a permis par un JEU D'ÉCRITURES d'énormes fortunes et des millions de dettes.

On pourrait (pure utopie), annuler d'un coup dettes et grosses fortunes. La seule monnaie restante serait la masse monétaire en circulation pour les échanges de biens et produits RÉELS. On pourrait d'un coup "ré-initialiser" la situation ...

____La solution?__

Les états, et NON les banques privées (les banques "fédérales" sont actuellement aux mains d'actionnaires privés), émettent la monnaie nécessaire (si besoin) à l'augmentation de la masse monétaire en circulation. Les états gèrent leur monnaie (augmentation ou diminution) eux-mêmes. Sans emprunter cet argent avec intérêts.

Les états, et NON les banques privées, émettent la monnaie nécessaire à de gros travaux ponctuels, par ex suite à une catastrophe naturelle. Cet argent, à dépenser intégralement dans le pays concerné (pas de dividendes partant à l'étranger; pas de thésaurisation), sera tôt ou tard récupéré par l'état sous forme d'impôts et taxes (ou tout simplement annulé dans le cas d'une monnaie de consommation comme celle de "l'économie distributive"), et donc à la fin on revient à zéro. Il s'agit en quelques sortes d'un prêt sans intérêts. A la fin des travaux ponctuels, la masse monétaire en circulation revient à son niveau normal, mais la richesse réelle (routes, bâtiments, ...) a augmenté, et entre temps des salaires ont été versés, des familles ont vécu.


 

Les banques privées peuvent facturer des services, mais ne prêtent rien aux états. On peut envisager la disparition totale du prêt avec intérêt. Les banques peuvent facturer leurs services, mais pas ad vitam aeternam. Elles peuvent par ex demander une participation ponctuelle aux bénéfices d'une entreprise réalisés grâce à leur investissement, mais uniquement en cas de profit. Autre ex, la construction de la maison d'un particulier (pas de profit financier pour le particulier) ne peut PAS donner lieu à des intérêts: le particulier ne paye que le temps passé par le banquier à gérer son dossier.

De +, les banques doivent cesser de détourner de l'argent vers les circuits financiers (Bourse), et ne doivent faire aucun profit. Les salaires des employés de banque retourneraient dans le circuit réel, ce qui est correct, et on n'a ainsi pas de "pompe à fric" permettant de bâtir des empires financiers dangereux pour tous. Et susceptible de permettre à quelques uns de se transformer en "maîtres du monde".(toute ressemblance...) 


Au fait, pourquoi ne fait-on pas déjà tout ça, puisque ça a l'air si simple? Parce que les banquiers ont progressivement conquis le pouvoir depuis deux ou trois siècles. Ce sont eux nos vrais dirigeants (non élus), et non nos prétendus politiciens (élus).

Arnaud DELAGE http://batisseur.free.fr

 

Pris ICI


 

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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 12:06

recette Petit Salé aux lentilles

Ce matin, j’avais décidé de ne pas appuyer sur le bouton de la boite à merveilles. C’est que  j’ai des priorités moé. Par exemple, des petites courses, faire du pain, le repas de midi au cas où fiston viendrait manger (ici il faut être devin) et des devoirs à faire pour l’école de yoga....mais ceci ne Vous regarde pas.   

 

Alors seulement et seulement après le plaisir du travail bien fait, je me frotte les mains et j’appuie religieusement sur le petit carré…. Ô, rendre grâce à la petite lumière bleue ! Et voilà, maintenant, je vous cause, à Vous. VOUS en avez de la chance !

 

Estrange, estrange, à chaque fois que j’ai envie de laisser tomber ce blog, j’ai de nouveaux abonnés. Je me demande d’ailleurs ce qu’ils  trouvent d’intéressant ici. Peu d’écrits personnels et beaucoup de copiés-collés (faut dire que depuis je sais être lue par les gens de ma paroisse, je me sens moins libre).  Bon, admettons que c’est le condensé d’écrits d’illustres qui attirent le chaland.    

 

Journal de bord, le web log, est le lieu idéal pour les exacerbations du moi. On tombe dedans avec plus ou moins de profondeur. Il est ceux qui désirent faire partager leurs découvertes, pensant que cela peut-être -éventuellement- utiles aux autres et ceux qui ne jurent que par eux-mêmes avec des articles où le Je est mis à toute épreuve : j’ai, j’ai fait, j’ai eu, j’ai lu, j’ai rencontré, j’ai dit….en se pensant peut-être original sinon ils ne le diraient pas.  Quand à ceux qui s'extasient sur des faits qu'ils ne remarqueraient même pas s'ils n'avaient pas à les écrire...  Et ces tonnes d’originaux, ça fait quoi ? Je n’en dirai rien. Ça ressemble juste un peu à un premier janvier « Et surtout la santé, parce que sans la santé… ». Ou comme en ce moment avec la tempête, je n’ose plus sortir à cause de l’avalanche des « Ils ont tout perdu ». Et oui, ça pourrait nous arriver à nous, alors ça fout les chocottes. C’est si près de chez nous, alors c’est plus grave que la musique de fond du journal télévisé concernant les bombes à l’autre bout du monde détruisant quotidiennement familles et habitations ou que le Bangladesh où les inondations durent six mois.

Bref, passer d’indignations en indignations, ça occupe le monde. Car le silence c’est difficile à supporter, c’est le terrible sentiment de n’être rien. Et n’en rien dire ça pourrait passer pour de l’indifférence. Et là, le Je en prend un coup.

 

Je vais voir si mes lentilles sont cuites….Je crois bien que je vais apprécier de manger avec Monsieur Silence.

 

 

 

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http://mai68.typepad.fr/.m/photos/uncategorized/2008/03/12/231355.jpg

Vidéo Michel Onfray

LA TYRANNIE DU VOULOIR

Sarkosy dit qu'il n'a jamais rien entendu de plus con que "Connais-toi toi-même".
Michel Onfray répond que c'est grave. Mais qu'il soit devenu président est encore plus grave.

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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 15:04

http://53.img.v4.skyrock.net/53c/chimagood/pics/1145021482.jpgAucune situation n'est désespérée, même si elle dure depuis longtemps. Pour s'aider, on peut écrire noir sur blanc ce que l'on souhaite obtenir ou reconquérir, en termes concrets. C'est une excellente méthode pour sortir de la paralysie et pour mettre ses idées au clair.



Pas très présente en ce moment, veuillez m'excuser....je bulle...

Je répondrai à vos commentaires un des ces quatre...peut-être jamais....peut-être un jour...La patience est une vertu...il paraît...

Mais je vous aime bien quand même. Enfin, c'est ainsi, ....faites comme moi,....


Bonnes siestes!

 

http://www.le-buzz-immobilier.com/wp-content/uploads/2009/11/bulle-color.jpg

Si vous vous ennuyez lisez tout ce blog et tous les liens sur le côté.




...bon cette fois, j'y vais



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7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 06:53

Angleterre-09-104--1024x768-.jpg

 

 

Le chemin que je découvre est celui du quotidien. Sans religion, ni croyance particulière. C’est un chemin dénué d’extraordinaire, habillé d’ordinaire. C’est un chemin de vie parmi tant d’autres, ni plus, ni moins.

Chaque jour est un jour nouveau. Je me lève et une nouvelle journée commence. Je me regarde et observe mon comportement sans jugement. Chaque jour j’apprends. Lorsque je juge et que la colère ou l’impatience me gagnent en soulevant les voiles de la tourmente, ou lorsque je souris, je m’observe, tout simplement. Chaque journée m’apprend à vivre un peu plus en conscience, à mon propre rythme. Je n’attends rien. Je n’apprends rien si ce n’est l’acceptation et le pardon.
Le chemin ne s’achète pas, il se vit. C’est un lien que l’on établit avec une part si intime et si profonde de soi-même que ce serait trahison de la monnayer. Elle est inestimable et sans prix.
Le chemin que j’entrevois lorsque j’ouvre les yeux, reste pragmatique et accessible à tous, sans distinction d’aucune sorte. C’est un chemin pétri de bon sens et de simplicité qui permettent d’accéder à une réelle liberté inconditionnel au travers de l’apprentissage du non-attachement.
Cette liberté demande intégrité et honnêteté envers soi-même ; de la transparence. Elle se cultive au quotidien. Une période de sevrage est souvent nécessaire. Elle nous apprend à désapprendre et dénouer les liens qui nous retiennent prisonnier de nos automatismes afin de laisser notre barque ouverte et offerte aux vents du grand large.

On ne choisit pas ce chemin. C’est le chemin qui nous choisit si nous savons lui prêter une oreille attentive. Ce n’est pas un choix de raison ou de déraison. C’est une évidence de cœur.
C’est un dialogue qui s’ouvre entre soi et le monde. Il permet de regarder le fleuve et la fleur avec des yeux innocents, sans jugement, sans présupposer aucun, avec un regard d’enfant. Un regard qui ressemble à une prière…

Ce qu’enseigne nombre de sciences contemporaines à nouveau émergentes, c’est que l’Univers, et donc notre monde, est constitué d’énergie et que cette énergie possède une conscience.
Du règne minéral, jusqu’à l’homme, toutes les manifestations de la vie sur terre sont des déclinaisons d’une même Conscience.

Cela implique qu’une communication devient envisageable et possible entre ces différents états de conscience. Et ceci ouvre de nouvelles portes.

Si l’on accepte de remettre en cause ses acquis et ses habits de raisons, de réapprendre à observer le monde en faisant taire son mental, un champ infini de possible commence alors à germer… Ici et maintenant, dans ce présent qui accompagne notre propre conscience.

Il y a ici et maintenant, la plus belle des promesses, celle qui pose une union ordinaire et cependant sacrée entre nous et le monde. Aujourd’hui, et plus que jamais, cette union commune, cette co(m)-union est entrain d’éclore dans le terreau de notre vie et nous en sommes tous les acteurs privilégiés et l’intelligence motrice. Un cycle se termine pour en accueillir un autre…
Il y a là un défit pour certains, une évidence pour d’autres, mais en tous les cas un avenir et une promesse pour tous…

Sur ce chemin, qui reste parfois un chemin de croix et de solitude, nous ne sommes jamais seuls. Et pour guérir il est parfois nécessaire de tomber malade…

Nous pouvons tenter de comprendre et de connaître dans ses moindres détails l’histoire du monde. Cela nous prendra du temps, mais cela reste dans le domaine du possible. Nous pouvons amasser des montagnes de connaissances et être celui qui sait. Nous pouvons essayer de comprendre les intrigues de notre monde afin de combattre les injustices et être celui qui brandit l'épée de la justice, nous pouvons même espérer 2012 comme une concrétisation de nos plus beaux espoirs.

Mais tout cela ne remplacera pas, et ne nous dispensera jamais de tourner notre attention à l’intérieur de nous-mêmes afin de nous observer et mieux nous connaître. Tout cela ne remplacera jamais le fait de vivre pleinement notre vie afin d’expérimenter et de mûrir.
Nous portons, au plus profond de nous, nos plus belles promesses, à nous de les découvrir et de les mettre en lumière, de les faire éclore dans le terreau du monde. Et cette mise en lumière passe par le vécu et les défis, petits ou grands, du quotidien qui nous livrent le miroir de nos propres aspirations.


 

Angleterre-09-010--1024x768-.jpg

 

Note de l'auteur de ce site

J’ai choisi de prendre l’Atlantide comme support de réflexion et de méditation pour exprimer ma quête intérieure. Vous trouverez donc ici une succession d’approches qui gravitent autour de la notion d’Atlantide et qui permettent de se rapprocher de son propre centre. Ce site est le fruit d’un chemin que je vis au jour le jour. Il n'appartient à aucun courant de pensée. C'est donc une pensée libre qui s'offre à vous, que je complète et rectifie en fonction des enseignements que me prête la vie. J'apprend à ne plus chercher mais à être simplement pleinement présent dans ce perpétuel présent en devenant mon propre observateur.

 

Je dédie ce site à la vie en général, à tout ce qui la caractérise, à toutes ses merveilleuses manifestations qui nous font comprendre que nous sommes à la fois grands et petits.
A tous ceux qui œuvrent pour elle, à tous les artisans d’un avenir meilleur, je dis merci et j’offre humblement quelques fragments d’étoiles.

 

 

Tous les textes ici présents sont la propriété intellectuelle de l’auteur. Vous pourrez très aisément faire un copier/coller de tous les textes afin de pouvoir les imprimer et faciliter de la sorte leur lecture. Cependant, je vous demanderai simplement de citer la source et de ne pas sortir des phrases de leurs contextes.

 

Vous pouvez donc reproduire les textes et en donner copie aux conditions suivantes :

· Qu’ils ne soient pas coupés

· Qu’il n'y ait aucune modification de contenu

· Que vous fassiez référence à www.atlantide-research.com

 

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4 février 2010 4 04 /02 /février /2010 07:22

S'il existe des spéculateurs de la spiritualité d'un côté "L'être humain a été conditionné à vénérer l'autorité, et nulle autorité n'est plus attractive que celle qui est supposée venir " d'en haut ". Mais l'invisible n'est pas le sacré, de l'autre, il existe aussi des lieux où des personnes expérimentées aident ceux qui sont en recherche. Pour ne pas se tromper de cible, le mieux est de faire ses propres expériences, oser contredire ce qui est dit et observer la réaction. Mieux vaut écouter l'enseignant  qui dit "Ne m'écoutez pas, expérimentez par vous-mêmes" et être vigilant avec son imaginaire.

Bref, tout ça pour dire que la spiritualité peut aussi déranger, car qui dit davantage de conscience dit moins se laisser entourlouper par les beaux discours médiatiques et dit aussi être moins consommateurs puisque le chercheur  trouve à l'intérieur de lui des besoins qui ne s'achète pas. Le mouton qu'il était (peut-être) tend à disparaître et le consumérisme  en prend un coup. Et pour Niko la Terreur, c'est sûrement dangereux de ne plus être peureux et docile.

Et puisque des gens éveillés, c'est dangereux, il faut sévir.  C'est ainsi qu'une opération militaire a eu lieu au Domaine de Chardenoux.  (A lire en commençant pas les articles du bas.)


Parmi les témoignages de soutien:

Julos Beaucarne:

A la lecture de votre communiqué une grande inquiétude monte en moi .
Pourquoi mettre en batterie un canon contre une mouche. Un régiment de gens armés jusqu'aux dents pènetre chez vous et insulte à la porte principale.
Qui a monté ce scénario brutal et sinistre comme si la recherche spirituelle mettait en péril l'état français . Je pense à vous, ça me ramène à mon enfance quand les allemands bouclaient notre village et que la résistance campait chez nous dans l'atelier de mon père. Tout cela sent la guerre et l'errance mentale des stratèges de la peur qui sont des oiseaux de proie qui écrasent le pauvre monde au nom du pèse et du fisc et du saint bénéfice jusqu'à vendre leur père et mère . Je suis avec vous mais je sais que la loi du plus fort est toujours,hélas, la loi du moindre effort. Quand les fusils font la loi le dialogue n'existe plus. Ce sont des bavures qui pourrissent l'âme des peuples et mettent en péril la cohésion de toutes les forces vives d'un pays.
Bien à vous dans cette épreuve .
Julos Beaucarne


Gilles Farcet:

Outre le fait de me sentir naturellement concerné par les violences infligées à des personnes avec qui j'ai tant partagé et dont je connais la consécration au dialogue, à l¹ouverture, à la tolérance, le récit de cette perquisition m'a fait littéralement froid dans le dos et amène me semble-t-il à poser, ou reposer , quelques questions graves et importantes : où sommes nous donc ? Dans quelque dictature idéologique où la liberté religieuse et philosophique n'a pas droit de cité ? En pleine période de Maccarthysme aux Etats Unis, à l'époque où il suffisait d¹être soupçonné de sympathies marxistes pour se voir mis au ban de la société et empêché d'exercer son métier ? Non, en France, début 2010. Comment, dans un Etat a priori de droit, peut-on ainsi et sous quel prétexte exercer de tels abus ? Est ce à ce point dérangeant, et pour qui, que des personnes proposent des stages, publient une belle revue et organisent des colloques auxquels ont participé et participent tant de personnalités éminentes issues de tous horizons mais qui ont en commun de ne pas donner dans le prêt à penser et de cultiver une perspective vaste ? Cet événement m¹a fait repenser à une discussion récente avec quelques amis et élèves à qui je reprochais leur naïveté quand ils me disaient croire que les "bons" groupements et les "bonnes" organisations à caractère spirituel étaient à l¹abri de la chasse aux sorcières qui se cache souvent sous couvert de la lutte ³anti sectes. Les voilà, hélas, magistralement détrompés. Ce qui démontre s'il en était besoin la nécessité de farouchement veiller au respect de la liberté de pensée, de croyance et d'expression, dans la fidélité aux valeurs de notre république.
Recevez donc l'expression de ma solidarité et de ma préoccupation en tant qu'ami comme en tant que citoyen.
Chaleureusement à tous
Gilles Farcet
écrivain, enseignant



Anne Morelli est historienne. Son parcours universitaire l’a conduite à travailler sur des questions de sociologie des religions. Elle est directrice adjointe du Centre Interdisciplinaire d’Etude des Religions et de la Laïcité à l’Université Libre de Bruxelles. Dans cette interview, elle décrit avec éloquence et sans passion – elle est athée – la condition des minorités spirituelles en France et en Europe. 

Interview du CICNS, novembre 2005.

Voir la vidéo de l'interview

 





Anne Morelli 1e partie
envoyé par johndee666.



Anne Morelli 2e partie
envoyé par johndee666.


Professeur des universités à l'IEP d'Aix en Provence, Raphaël Liogier enseigne la sociologie et l'anthropologie. Il dirige l'Observatoire du Religieux et le Master Religion et Société. Il est, notamment, l'auteur de : "Le Bouddhisme mondialisé" aux éditions Ellipses et : "Une laïcité légitime : La France et ses religions d'Etat"



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4 février 2010 4 04 /02 /février /2010 07:15
http://img.over-blog.com/480x499/0/53/70/19/dessins2/dessins-3/changement-heure-copie.jpg

Il ne faut pas se bercer d'illusions. Une adaptation ponctuelle à chaque situation de conflit est un objectif bien suffisant!
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2 février 2010 2 02 /02 /février /2010 13:34



  FE34-Tender-Anemone-I-Affiches.jpg

Des rires pour mieux laisser dormir
Les flots au fond de soi
Ne pouvant encore dire
De peur qu'ils ne vous noient


631199.jpg
Est-ce que la vie passant
Aide aux souvenirs enfouis
Est-ce que l'expérience façonnant
Libérera le cri


45_Fenetre_ouverte_sur_la_nuit.jpg

Quand le temps passé sera perspective
Que les vagues auront tout nettoyé
Qu'un ciel que la lumière ravive
Rendra coeur et pieds plus légers

Coquel.jpg

Marie-REve

 

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2 février 2010 2 02 /02 /février /2010 09:37

http://media.koreus.com/200803/23-insolite-14.jpgDans la vie privée comme au travail, mieux vaut grignoter son espace de liberté. Chaque petite étape clairement franchie agrandit un peu ce territoire intérieur dans lequel on peut aller se réfugier lorsqu'on doit se préparer à affronter une situation de conflit.
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